14/06/2012

LE GANGSTER BECHIR BEN YAHMED DE "JEUNE AFRIQUE", LE PLUS GRAND ESCROC QUE L'AFRIQUE EST CONNU SES 50 DERNIÈRES ANNÉES (1ère Partie).

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« Jeune Afrique » : une vie de fric et de chantage . Comment BECHIR BEN YAHMED a fait de son journal une institution internationale au service de l’ " arnaque des dirigeants africains " ».


Pays par pays.

Depuis presque un demi siècle, des générations entières d’Africains subissent la tyrannie, le mépris de Béchir Ben Yahmed et de son groupe de presse, et ce n’est pas fini, car ses rejetons sont là à l’oeuvre et travaillent à pérenniser l’oeuvre de colonisation de nos esprits et de dépouillement de nos deniers publics. Qu’a-t-il apporté ce groupe de presse aux Africains ?

La question mérite d’être posée, tellement cette famille s’est enrichie plus que de raison sur le dos des Africains. Bras armé de la françafrique, la ligne éditoriale du « sac à merde » comme l’a qualifié un homme politique Malien, s’est toujours alignée sur les positions néocolonialistes françaises.

Les violons s’accordaient régulièrement entre BECHIR BEN YAHMED et Jacques Foccart qui révéla dans ses mémoires qu’il avait un rituel d’un dîner par mois avec le propriétaire de J.A. La complicité entre les deux hommes était telle qu’à sa mort, Jacques Foccart désigna BBY comme son légataire testamentaire universel.

Que peuvent attendre les Africains du légataire de Foccart ? Que peut-il leur offrir ? A part, les maintenir autant et aussi longtemps que possible dans les liens du pacte colonial ?

« BECHIR BEN YAHMED devenait le gardien et, en fait, l’agent de commercialisation des mémoires de l’homme ayant, outre des opérations telles que le débarquement des mercenaires en 1977 au Bénin, perpétué la présence néocoloniale de la France dans ses ex colonies et ainsi permis à la France de partir pour mieux rester », releva Antoine Glaser.

Le groupe JA faisait bel et bien partie du réseau Foccart.

BECHIR BEN YAHMED a-t-il convaincu de son indépendance ? Ou bien a-t-il tout simplement réussi à convaincre qu’il était un sous fifre de la Françafrique, informé, managé et exécutant toutes les missions qui pouvaient aller de la terreur médiatique à la mise à mort, programmées dans les sous-sols de la Foccardie, puis de ses successeurs ; l’empire JA puise ici sa source et le fondement de sa puissance ; une puissance dont l’expression première est sa capacité de nuisance, sa détermination à salir, à insulter les dirigeants et Chefs d’Etat de la seule Afrique Noire.

Car de mémoire d’homme, on n’a jamais vu BECHIR BEN YAHMED traiter ou qualifier un Chef d’Etat arabe, de dictateur, de tueur, et pourtant certains ont instauré de monstrueuses tyrannies qui, pour le moins, n’ont rien à envier à toutes les « dictatures » africaines qu’il n’a cesse de dénoncer et de brocarder en des termes orduriers et racistes.

« Aboule le fric » est la devise du groupe, les Chefs d’Etat Africains doivent payer pour qu’on les épargne, s’ils refusent, ils se font descendre, et leur entourage de souligner le tirage de J.A. à X...exemplaires, de prévenir que leur avidité non satisfaite se transformerait en haine et en poursuite infernale contre eux ; alors de grâce, payez pour avoir la paix, payez pour qu’il vous lèche les bottes, plutôt que de le voir vous déverser sa bile.

C’est le discours qu’on entend régulièrement dans les couloirs des présidences africaines. Ainsi donc, à cette opération de chantage bien menée, s’ajoute une escroquerie qui consiste en ce que chaque semaine, le journal est vendu deux fois ; une première fois à l’annonceur - Chef d’Etat ou homme politique - puis une seconde fois au pauvre lecteur que nous sommes qui perdons notre temps à acheter et à enrichir depuis plus de 60 ans une famille qui n’a aucune considération pour nous, si ce n’est que de s’appliquer à vider les poches de nos responsables sans aucun scrupule.

Quoi de plus convaincant que des exemples concrets, entrons donc dans les égouts du journal et faisons la lumière sur ses pratiques douteuses. Du Cameroun au Gabon, en passant par la Côte d’Ivoire, le Sénégal, tout le monde est logé à la même enseigne ; seule la rapide docilité de certains à allonger le blé aux journalistes commerciaux de J.A, explique la différence de traitement.

C’est ainsi qu’aux dossiers incendiaires dont le but est de maintenir la pression plutôt que d’informer, succéderont des reportages qui sont, en fait, des publi-reportages de même que l’enquête journalistique est en fait une quête publicitaire.

Aujourd’hui, JA fait face dans l’arène médiatique à une presse privée africaine qui devient très audacieuse et dynamique, vous comprendrez pourquoi la vénalité de cette famille la pousse au chantage, aux menaces dans leur course de rattrapage. Véritable outil de propagande, l’hebdomadaire n’accepte ni la concurrence ni le refus d’adhérer à ses idées mercantiles.

Exemples : Le Cameroun

Un contrat portant sur la somme de 650 millions de FCFA à verser chaque année permet au régime de Paul Biya de bénéficier d’un traitement de faveur. Le Gouvernement paya sans râler pendant 4 ans, puis en a eu marre, surtout que l’impact positif des articles de JA n’a jamais été prouvé, de même que les retombées en termes d’image sont une belle arnaque et personne n’y croit. Aussi, malgré plusieurs relances, on fit la sourde oreille à Yaoundé. Pendant ce temps, à Paris, la famille BECHIR BEN YAHMED affute ses couteaux, et pond un dossier sur les 50 personnalités qui comptent en Afrique et, bien entendu, Paul BIYA est zappé et sérieusement critiqué sur tous les angles.

Le Gabon

Véritable vache à lait, le Gabon a toujours les plus lourdes factures au groupe JA. Selon les anciens du journal, Bongo assurait les fins de mois de l’hebdomadaire à lui tout seul. Il serait fastidieux de lister 40 ans de collaboration fructueuse ; aussi citons les scandales encore fumants comme celui souligné par la Lettre du Continent : Le groupe Jeune Afrique a édité, via sa régie publicitaire Difcom dirigée par Danièle Ben Ahmed, un bon de commande à l’attention de la présidence de la République gabonaise pour la réalisation d’un guide “Ecofinance” sur le « +Gabon ».

Mais, selon la même Lettre confidentielle, depuis cette date, il n’y a aucun retour du côté gabonais. Le directeur exécutif de la rédaction, Marwane Ben Yahmed, fils de BBY, a donc enfilé sa casquette de VRP. Il est monté au créneau pour rappeler à la ministre gabonaise de la Communication, Laure Olga Gondjout , la “ longue collaboration ” entre Jeune Afrique et l’ancien président Omar Bongo Ondimba… Des menaces à peine voilées.

Le Sénégal

La presse sénégalaise s’offusque régulièrement des sommes astronomiques dépensées pour fermer la bouche au journal J.A. qui n’a pas bonne presse malgré le fait que de nombreux sénégalais aient travaillé dans la maison. De vives tensions avaient opposé le régime de Diouf à BECHIR BEN YAHMED au sujet de la couverture de la crise qui a opposé le Sénégal à la Mauritanie en 1989.

Les premiers papiers de JA étaient une véritable lapidation médiatique du régime de Diouf. L’élite sénégalaise avait bien compris le message, BECHIR BEN YAHMED avait choisi le camp de ses frères arabes. Le régime de Diouf paniqua et envoya une délégation pour négocier à coups de millions, non pas le respect de la Vérité ou une certaine éthique professionnelle dont le journal n’en a que faire, mais plutôt un équilibre dans la présentation des évènements.

Le Sénégal avait parfaitement à l’esprit le racisme du propriétaire de l’hebdomadaire mais aussi la connaissance de l’octroi de licences de pêche à certains responsables du groupe par le régime de Ould TAYA.

Le Tchad

On peut dire que le cas du Tchad peut se résumer à la personne du président Habré, à son combat contre Khadafi et à la position de BECHIR BEN YAHMED. La façon dont BECHIR BEN YAHMED, un vieillard de 83 ans s’occupe personnellement, avec une haine féroce, à démolir l’image de Hissein Habré (HH), a poussé ses propres collaborateurs à s’interroger sur cette attitude.

Au début, était le contrat qui le liait à Kadhafi, conclu pour accompagner et maquiller la politique expansionniste de la Libye au Tchad et dans la sous-région. Toutefois, les milliards encaissés par la famille BY n’expliquaient pas toute cette folie en continu depuis plus de 30 ans.

Le 14 juillet 1988, le président HH fut l’invité d’honneur de la fête nationale française, durant sa visite à Paris dans le cadre de ces festivités BECHIR BEN YAHMED adressa une invitation au Président HH au siège de J.A. Ce dernier déclina l’invitation. Le Roi Béchir le prit très mal, lui qui se considérait comme l’égal de ces Excellences, selon les confidences d’anciens de la maison.

Un coin du voile fut levé grâce à une grande dame de la politique sénégalaise, ancienne ministre, elle donna une clé pour comprendre la haine qu’il éprouvait pour HH. BECHIR BEN YAHMED avait été profondément traumatisé par les évènements Tchado-libyens.

Elle expliqua que lors de la chute de Ouadi-Doum, elle était en train de dîner avec le couple Ben Yahmed dans leur domicile; les télévisions françaises étaient déchaînées sur l’actualité brulante de l’heure à savoir, la totale déconfiture de la puissante armée libyenne; des milliers de soldats libyens venaient d’être faits prisonniers par l’armée nationale tchadienne, tout l’état major libyen avait été fait prisonnier et quelques instants plus tard, les images de soldats libyens menottés, certains assis, d’autres à genoux, défilèrent sur les écrans …

Silence lourd et pesant, BBY blême, accuse le coup, au bord des larmes, il contient difficilement son émotion, sa rage plutôt; il se sent humilié jusqu’au plus profond de son être.

D’une voix éteinte, oubliant qu’il n’était pas seul, il balbutie : « Jamais, jamais des Noirs n’ont mis à genoux des Arabes. Comment ont-ils osé ? Je consacrerai ma vie à le leur faire regretter amèrement …. » Et c’est ainsi que le Président Hissein Habré paie depuis plus de 30 ans, pour le courage qu’il a eu d’affronter Khadafi, d’avoir mobilisé son peuple, son armée pour mettre fin à une barbarie sans nom.

Des troupes libyennes ont semé la terreur, envahi le pays, commis des crimes horribles, il est vrai avec la complicité active d’hommes politiques tchadiens. Malgré cette horrible réalité vécue par le peuple tchadien, l’esprit enfiévré et raciste de BECHIR BEN YAHMED n’a enregistré que la dernière séquence pour monter son propre film pour nourrir et alimenter sa haine et son désir de vengeance qu’il lèguera à ses fils déjà positionnés pour pomper à leur tour l’argent des Africains.

A cette vanité raciste, il faut ajouter qu’il lui revient de brasser du vent pour la françafrique à laquelle il appartient ; d’où son engagement inlassable dans l’affaire HH qui lui permet, par ailleurs, d’en imposer au désormais sur-liquide Deby qui arrose abondamment les différents envoyés spéciaux de J.A. A fonds perdus, vue sa désastreuse image tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. Le pauvre !

Avec les catastrophiques résultats du Tchad, dernier du peloton dans plusieurs domaines, avec l’échec du Projet Pétrole, les rapaces de J.A. auraient de quoi écrire pendant 30 ans.

 

( suite .... )

 Source : LE DOUK-DOUK DU MERCREDI 13 JUIN 2012 

13/06/2012

GABON : SIX PREMIÈRES DAMES AFRICAINES RÉUNIES A LIBREVILLE

 

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Libreville, le 11 Juin 2012 - Dans le cadre du Dialogue for Action Africa, une initiative de la Fondation Cécilia Attias qui s’est tenue à Libreville le 11 juin 2012, la Première Dame du Gabon, Madame Sylvia Bongo Ondimba, a réuni les Premières Dames du Burkina Faso, de Côte d’Ivoire, de Namibie, du Nigéria, du Rwanda et du Sénégal, dans le but de promouvoir le rôle des femmes sur le continent.

Ensemble, elles ont participé à une session spéciale animée par M. Richard Attias pour s’exprimer sur leur engagement social dans leurs pays respectifs et initier un partage des bonnes pratiques.

Cette session a été l’occasion, pour la Première Dame du Gabon, de présenter les trois domaines d’action prioritaires de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille que sont l’éducation de la jeunesse, les droits et promotion de la Femme et l’insertion des personnes fragilisées.

M. Attias a également félicité la Première Dame pour la réussite de sa campagne de prévention contre le sida menée à l’occasion de la Coupe d’Afrique des Nations, « CAN SANS SIDA » dont l’objectif est : « Trois-Zéro contre le sida : zéro discrimination, zéro décès, zéro transmission ».

Organisé au lendemain du New York Forum Africa, le Dialogue For Action Africa a réuni des personnalités de haut rang, dont la Directrice générale de l’Unesco, Madame Irina Bokova, des experts de renom et de nombreux représentants de la société civile venus de tous les continents.

Les différents participants ont ainsi échangé tout au long de la journée autour de quatre thèmes majeurs : l’éducation des filles, l’entreprenariat des femmes, l’amélioration des systèmes de santé et de soins maternels, ainsi que le rôle des femmes dans la promotion de la  paix.

Une remise de prix qui récompense les ONG oeuvrant dans le domaine de l’amélioration des conditions de la femme africaine et des personnes vulnérables a eu lieu avant la cérémonie de clôture.

A cette occasion,  l’ONG gabonaise Arc en Ciel a été récompensée pour son travail en faveur des enfants fragilisés, notamment à travers la scolarisation, la formation et la réinsertion.

Dans son discours d’ouverture, la Première Dame a mis l’accent sur le potentiel humain que représentent les femmes pour le développement du continent :

« La Femme africaine est le futur du continent. Elle façonne l’avenir de nos pays et dessine les contours du monde de demain. Selon l’OCDE, le taux d’activité des Africaines est supérieur à 60% ! Dans certains secteurs, elles sont même irremplaçables. C’est notamment le cas de l’agriculture où les femmes constituent 70% de la force agricole et produisent 90% des denrées alimentaires de notre continent. (…) Nos sociétés ne protègent pas les femmes comme elles le pourraient, comme elles le devraient. Les notions d’égalité des sexes ou de parité sont encore trop marginales. Cette réalité est un frein à leur émancipation et donc au développement harmonieux et durable de l’Afrique toute entière. »

Dans son discours de clôture,  elle a interpelé ses homologues et les responsables politiques sur la nécessité de mobiliser tous les acteurs concernés pour garantir l’éducation effective des jeunes filles, l’entreprenariat des femmes et le plein accès des futures mères aux soins de santé.   

« En tant que Premières Dames, nous avons des responsabilités et un devoir vis à vis de nos communautés et bien sûr de nos femmes, piliers de nos sociétés. Votre engagement personnel est plus que jamais déterminant pour faire avancer leur cause. Après le temps de la réflexion et de la discussion doit venir le temps de l’action :

Action pour un changement de regard de la société ;

Action pour la valorisation des femmes ;

Action contre les discriminations sous toutes ses formes.

Nos lois doivent permettre aux femmes de jouer leur rôle dans le processus de décisions, dans l’évolution des mentalités ».

Enfin, en marge de ses interventions au Dialogue For Action Africa, Madame Sylvia Bongo Ondimba a rencontré plusieurs jeunes gabonais, actifs dans les milieux associatifs et des affaires.

Elle a encouragé ces derniers à poursuivre leurs projets avec détermination et à faire preuve de leadership pour partager leurs expériences avec leurs concitoyens : « La réussite de la jeunesse gabonaise est indispensable au développement de notre pays » a-t-elle rappelé à ses jeunes compatriotes.

Créée en janvier 2011, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba agit dans 3 domaines d’action prioritaires qui sont l’éducation de la jeunesse, les droits et promotion de la femme et l’insertion des personnes fragilisées.

Des informations supplémentaires sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba sont disponibles aux liens suivants :

 

www.fondationsylviabongoondimba.org

Contacts Communication : presse@fondationsbo.org


 

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Clôture Dialogue For Action Africa : ALLOCUTION DE SYLVIA BONGO ONDIMBA

 

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Mesdames les Premières Dames,

Excellences,

Distingués invités,

Mesdames et Messieurs,

Chers amis,

 

J’ai l’honneur et le plaisir de clôturer cette journée de Dialogue consacré à la femme africaine.

Une journée  c’est peu, si l’on songe au chemin à parcourir , aux obstacles à lever :

Atteindre la parité politique , économique , culturelle , sociale  ;

Permettre aux femmes de jouer pleinement leur rôle dans le développement de notre continent.

Mais une journée de dialogue et d’échanges, c’est aussi beaucoup.

Pour ma part, j’y vois un symbole fort 

-     le symbole d’une volonté commune ;

-     le symbole d’un engagement sincère ;

-     le symbole de tout un continent résolument tourné vers l’autonomisation des femmes.

L’originalité du Dialogue for Action Africa, la qualité et la variété des participants à nos débats ont rendu possible l’échange.

Le programme était dense mais il n’est qu’à la hauteur du sujet abordé.

Je tiens d’ailleurs à remercier chaleureusement tous les participants pour leurs précieuses contributions.

Vos idées, vos expériences, votre connaissance du terrain, font de vous les premiers acteurs du développement.

Merci d’avoir enrichi les débats avec engagement , ambition , détermination.

 

Mesdames les Premières Dames,

Chères sœurs,

 

Votre seule présence marque l’importance des thèmes abordés.

En tant que Premières Dames, nous avons des responsabilités et un devoir vis à vis de nos communautés et bien sûr de nos femmes, piliers de nos sociétés.

Nous devons protéger nos mères, nos sœurs, nos filles. 

Votre engagement personnel est plus que jamais déterminant pour faire avancer leur cause. Après le temps de la réflexion et de la discussion doit venir le temps de l’action :

 Action pour un changement de regard de la société ;

 Action pour la valorisation des femmes ;

 Action contre les discriminations sous toutes ses formes.

 

AGIR, c’est mettre l’accent sur l’Education

 En garantissant à nos filles une éducation de qualité ;

 En les préparant intelligemment au marché du travail ;

 En les incitant à croire en leurs rêves ; et surtout

 En leur donnant les moyens de les réaliser.

 

AGIR, c’est aussi promouvoir l’entreprenariat des femmes

 En facilitant leur accès aux crédits ;

 En les accompagnant dans le développement de leurs projets ;

 En facilitant la commercialisation de leurs produits, sur les marchés locaux, régionaux et internationaux.

 

AGIR, c’est encore œuvrer en faveur de la santé de la mère et de l’enfant :

A travers des programmes de prévention ;

Grâce à l’accès aux soins avant, durant et après l’accouchement.

 

AGIR, c’est enfin donner aux femmes une place de choix dans la prévention et la résolution des conflits :

Permettre aux femmes d’être des agents de la paix ;

Associer les femmes aux programmes de prévention et de résolution des conflits.


Bien sûr, il s’agit là d’un programme ambitieux.

La tâche est considérable et les obstacles ne manqueront pas.

Permettez-moi de saisir cette occasion pour inciter les gouvernements africains à redoubler d’efforts pour accélérer la réforme des politiques publiques.

Nos lois doivent permettre aux femmes de jouer leur rôle dans le processus de décisions, dans l’évolution des mentalités.

 

N’oublions jamais :

Que les femmes représentent plus de la moitié de la population du continent ;

Qu’elles sont la principale richesse pour le développement de nos pays ;

 

Chère Cécilia,

 

Merci, du fond du cœur, pour cette heureuse initiative et pour la qualité des échanges qu’elle a permis.

Aujourd’hui , à Libreville, nous avons mis en commun nos idées, nos pratiques, nos projets.

Demain, à Libreville ou ailleurs, j’espère que nous serons à nouveau réunis pour constater ensemble des résultats tangibles , des avancées concrètes , pour les femmes.

 

Mesdames les Premières Dames,

Distingués invités,

 

Comme l’a dit Henry Ford : « Se réunir est un début ; rester ensemble est un progrès ; travailler ensemble est la réussite ».

Puisse la richesse des échanges de ce Dialogue nous convaincre de travailler ensemble, de façon concrète et pragmatique , pour améliorer le quotidien de millions de femmes, en Afrique et dans le monde !

 

Je vous remercie.

 

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http://www.fondationsylviabongoondimba.org/

 

Ouverture Dialogue For Action Africa : DISCOURS DE SYLVIA BONGO ONDIMBA

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Mesdames les Premières Dames,

Excellences,

Distingués invités,

Mesdames et Messieurs,

Chers amis,

 

Au nom de toutes les Gabonaises et de tous les Gabonais, je tiens à vous souhaiter la bienvenue dans notre pays.

C’est pour nous un plaisir immense de vous accueillir aujourd’hui à Libreville, de vous faire partager notre culture, nos valeurs, nos idées, et, je l’espère notre ambition.

 

Chère Cecilia,

Je tiens à vous adresser mes profonds remerciements pour avoir tenu à organiser cette conférence en terre gabonaise.

Je suis à la fois heureuse et reconnaissante de voir autant de personnalités et experts éminents réunis ici aujourd’hui.

La Femme africaine : elle est le futur du continent, le visage d’un développement durable.

Elle est le socle de nos sociétés, celle qui façonne l’avenir de nos pays et dessine les contours du monde de demain.

Chaque jour, nos mères, nos sœurs, nos filles œuvrent sans relâche pour le bien être de leurs enfants, de leurs familles et de leurs communautés. 

Dans les campagnes, elles allient travaux de la terre et responsabilités familiales, tout en veillant à l’éducation et à la santé de leurs enfants.

En milieu urbain, elles mènent de front, vie professionnelle  et vie de famille.

 

Mesdames et Messieurs,

Chers amis,

 

Nous sommes réunis aujourd’hui dans l’ambition de replacer la femme africaine au cœur du développement du continent.

On oublie trop souvent qu’elles sont parmi les plus actives du monde. Selon l’OCDE, le taux d’activité des Africaines est supérieur à 60% !

Dans certains secteurs, elles sont même irremplaçables.

C’est notamment le cas de l’agriculture où les femmes constituent 70% de la force agricole et produisent 90% des denrées alimentaires de notre continent !

Et pourtant, dans leur immense majorité, les femmes sont employées dans les secteurs informels ou confinées dans des postes peu qualifiés et, par conséquent, mal rémunérés.

Beaucoup reste à faire pour améliorer leur statut socio-économique.

Nos sociétés ne protègent pas les femmes comme elles le pourraient, comme elles le devraient.

Les notions d’égalité des sexes ou de parité sont encore trop marginales.

Cette réalité est un frein à leur émancipation et donc au développement harmonieux et durable de l’Afrique toute entière.

Il est de notre devoir de protéger les femmes de notre continent.

Elles sont les plus vulnérables face aux fléaux que sont la maladie, les violences et les discriminations sociales.

 

Nous connaissons les causes de tous ces maux :

-     Fort décrochage scolaire des jeunes filles ;

-     Phénomène de grossesses précoces ;

-     Absence de protection juridique ;

-     Manque de considération sociale ;

 

Pour inverser cette tendance et aider nos mères, nos sœurs, nos filles, nous devons partager nos Expériences, Réfléchir ensemble à des approches novatrices et Identifier des solutions concrètes.

C’est l’objectif que je me suis fixé en participant à ce forum, pour :

-     Convaincre nos soeurs qu’elles peuvent envisager leur futur sereinement ;

-     Apporter des réponses concrètes à leurs préoccupations ;

-     Garantir des résultats au plus près de leurs besoins.

 

En janvier 2011, j’ai créé la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille.

Mon engagement est sincère et durable.

Toutes mes actions, je les mène « pour » et « avec » le peuple gabonais.

Je me réjouis que les thématiques, présentées aujourd’hui, nous donnent l’occasion d’échanger sur des sujets qui me tiennent à cœur :

L’éducation des femmes, l’entreprenariat féminin ou encore la réduction de la mortalité maternelle et infantile.

-  Sur l’éducation des femmes, permettez-moi de citer le célèbre poète égyptien Ahmed Chouaki : « Qui éduque une fille, éduque une nation ».

Une éducation réussie est une éducation qui cultive le sens des valeurs, des responsabilités, la volonté du dépassement de soi.

Les femmes doivent pouvoir prétendre aux mêmes métiers que les hommes.

Nous devons leur donner les moyens de devenir des leaders influents, capables d’exceller dans tous les domaines, à commencer par la politique et le monde des affaires.

-     Le développement de l’entreprenariat féminin est également l’une de mes priorités.

A toutes les femmes, je voudrais dire : libérez votre créativité, ayez confiance en vous, lancez vos entreprises !

Dans le cadre de ma fondation, j’ai créé le microcrédit Akassi, exclusivement dédié aux femmes. Depuis sa mise en place, ce sont près de 1500 femmes qui ont bénéficié d’un prêt pour financer leurs projets économiques.

Aujourd’hui, elles sont plus indépendantes et plus responsables.

Elles disposent d’un meilleur revenu qu’elles peuvent dédier à l’éducation et à la santé de leurs enfants.

-     Protéger la mère et son enfant, c’est garantir le futur de notre continent.

Trop de femmes meurent en donnant la vie ; 

Trop de jeunes filles deviennent mères alors qu’elles ne sont encore que des enfants.

 

Mon programme « Tous Unis pour la Santé de la Mère et de l’Enfant » vise à répondre à ces problématiques :

Améliorer les comportements en matière de santé et d’hygiène

Optimiser la formation du personnel médical

Renforcer la qualité des soins

Ou encore garantir l’accès aux structures sanitaires

 

Nous devons agir ensemble et partager les bonnes pratiques pour l’émergence d’un continent éduqué, en bonne santé, en paix.

-     Au Gabon, nous avons la chance d’être épargnés par les conflits et de vivre dans la paix et l’unité .

Mais, bien sûr, nous partageons la souffrance de ceux qui sont dans la peine.

Les femmes et les enfants en sont généralement les premières victimes.

 

Marquées à vie par ces traumatismes dont elles ne sont jamais les responsables, les femmes ne sont pas suffisamment associées ou écoutées lorsqu’il s’agit de construire la paix et de la consolider :

- Pourtant, qui mieux qu’elles pour témoigner des souffrances dont sont victimes les populations ?

- Qui mieux qu’elles, pour délivrer et partager un message de paix et de justice ?

- Qui mieux qu’elles, pour faire émerger le consensus, le dialogue et la recherche du progrès ?

 

Distingués invités,

Mesdames et Messieurs,

Mes chères sœurs,

 

Avant que ne débute cette rencontre originale et prometteuse, je souhaite rendre un vibrant hommage à toutes ces femmes africaines qui ont été, ou sont encore, des modèles de réussite pour le monde entier.

Je pense à ces femmes artistes, sportives, politiques, chefs d’entreprise, scientifiques, universitaires de renom et à toutes les mères de familles épanouies.

Je pense bien sûr à Madame Ellen Johnson Sirleaf, Présidente du Libéria et Prix Nobel de la Paix.

Je pense également à la regrettée Wangari Maathai.

Mais je pense également à des femmes moins connues mais qui n’en restent pas moins des modèles pour les nouvelles générations.

Toutes ces femmes et bien d’autres encore, se sont battues pour réussir et faire taire tous ceux qui leur prédisaient l’échec.

 

En incarnant la réussite, le potentiel et le dynamisme de la femme africaine, elles sont des sources d’inspiration intarissables pour toutes nos filles, ces femmes en devenir !

Puisse notre rencontre de ce jour contribuer à baliser le chemin pour des générations entières de femmes en apportant des réponses concrètes à leurs préoccupations et à leurs besoins !

 

Je vous remercie.

 

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http://www.fondationsylviabongoondimba.org/


 


09/06/2012

GABON : LA MALADIE DE MARC ONA ESSANGUI C'EST LA SORCELLERIE DE LA DIABOLISATION !

 

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Pour rappel, Marc Ona Essangui avec sa pseudo ONG chargée de l'environnement ( aujourd'hui parti politique masqué )  a décidé de combattre idiotement toute action du gouvernement avec le seul objectif de jeter un discrédit sur les autorités du pays. Est-ce cela le rôle d'une ONG environnemental ?

Il faut tout de suite préciser qu'une ONG responsable est un élément utile à l'épanouissement de la démocratie. De même que la démocratie permet l'épanouissement des ONG grâce à certaines libertés offertes par ce système. C'est peut-être ici que Marc Ona Essangui s'égare pour se retrouver dans le champ politique..

Une ONG ne doit jamais utiliser l'espace démocratique pour mener des activités qui débordent son cadre d'action, un cadre propre aux ONG. Le rôle et les limites de cette dernière dans un système démocratique doivent être bien identifiés et respectés pour éviter des collisions malencontreuses comme ce qui se passe actuellement au Gabon.

A cause de son contexte difficile consécutif aux années de galères dû aux chômages prolongés, Marc Ona Essangui s'est fabriqué une ONG pour subvenir à ses besoins quotidiens. Son ONG environnemental répond avant tout à cet objectif. C'est pour cela qu'il n'hésite pas à se prostituer pour survivre financièrement.

 

A tout cela s'ajoute un coctail d'arrogance, d'ignorance et d'opportunisme qui caractérisent Marc Ona Essangui et ses laquets qui se sont transformés en donneurs de leçons au Gouvernement.

Qui ignore que tous les aigris et autres jaloux de la politique Gabonaise se sont refugiés derrière son ONG pour accomplir leur sale besogne ?

Qui ignore encore au Gabon que son ONG est un prolongement des partis politiques en perte de vitesse ?

C'est pour cela que les autorités Gabonaises et en particulier la justice ne devraient pas être distraites par ces pécheurs en eau trouble.

On le sait, depuis un bon bout de temps, cette opposition " moutouki " à la fois antipatriotique et antidémocratique s’est engagé à lutter contre toutes les initiatives du Gouvernement à sortir le Gabon de l’angoisse et du statu quo.

Les stratégies de Marc Ona Essangui et ses sbires sont bien connues. Combattre les initiatives, dénigrer et vilipender les initiatives les plus louables et salutaires du Gouvernement et annihiler tout élan de progrès socio économique du pays.

Et curieusement, cette opposition " manioc " qui n’a pas honte de n’avoir rien contribué dans la transformation du Gabon par les Gabonais eux-mêmes croyait embourber la Communauté Internationale dans la confusion et dans le refus.

Poussées par la déception, le mensonge et la perfidie, Marc Ona Essangui et ses chiens se sont transformées en de véritables oppositions politiques. La suite de leur comportement a mis à nu la mutation subie et la profondeur de leur propre trahison.

Pour rappel, le gang ci-haut cité a changé de langage après les résultats des élections de 2009 qui avaient été obtenus dans un environnement juste et transparent et à travers une compétition loyale qualifiée de politiquement mure et démocratique , a viré à 180 degrés dans ses nouvelles considérations pour les qualifier de truqués, volés en ignorant les déclarations qu’elles avaient faites de concert avec le Clergé, les Observateurs nationaux et internationaux, les différents Représentants de la Société Civile, etc…

L’arrogance a commencé à s’afficher dans leur condamnation du Gouvernement jusqu’à même renier la légitimité de celui-ci.

S’enfonçant de jour en jour dans le mensonge et la calomnie, Marc Ona Essangui a joué trop bien le rôle qui était dévolu aux partis politiques qui étaient en débandade.

Logiquement, une opposition irresponsable qui passe tout le temps à semer la peur au sein de la population, à faire des groupes de brigands de prétendues « rébellions en gestation », à étouffer les initiatives de développement des Gabonais en annonçant des catastrophes et des bains de sang, à corrompre des étudiants pour les amener à trainer dans la boue les gardiens de la sécurité de la population et qui sont du coup les bêtes noires de l’opposition et qui, de surcroît, ignorent presque tout de ces milliers de chantiers à quoi les Gabonais sont occupés, que ce soit dans la construction des milliers d’infrastructures scolaires, sanitaires ; des stades modernes, des villages modernes qui vont finalement révolutionner la vie des paysans, les routes communautaires et autres, etc., voilà les gens qu’ils faut plutôt corriger.

Voilà la véritable face des anti patriotes et anti démocrates qui se revêtent la peau des démocrates alors qu’ils sont les véritables fossoyeurs de la volonté populaire s’exprimant à travers les urnes.

Après avoir échoué à convaincre l’opinion nationale sur la nécessité de la balkanisation du Gabon par le soulèvement populaire, les regressistes Gabonais réussissent de temps en temps à manipuler une certaine opinion de la Communauté Internationale.

Ses organisations considérées par le monde extérieur comme constituant la société civile Gabonaise sont de moins en moins crédibles aussi bien que la soi-disant opposition, à partir du moment où elles poursuivent des intérêts qui n’ont rien à avoir avec les aspirations premières du peuple , celles de la paix , la sécurité et l'émergence au premier plan.

Les unes sont à la chasse de l’argent au nom de la défense des droits de l’homme ; les autres veulent le pouvoir par tous les moyens, y compris les plus malhonnêtes et les plus inciviques.

D’aucuns sont convaincus que les moyens colossaux utilisés par Marc Ona Essangui et ses vassaux dans des initiatives de diabolisation du pouvoir et dans les montages pourraient servir à développer de grands projets communautaires qui permettraient plutôt à des milliers de jeunes Gabonais d’accéder à l’emploi et préparer leur avenir.

Et s’il faut parler des corrompus dans notre pays, il faut au premier abord viser certains politiciens moutouki à l'instar de Marc Ona Essangui et ses sbires.

Il n’est plus question de passer sous silence ce mécanisme déguisé de détournement et de malversations économiques.

A considérer les pertes que l’Etat Gabonais enregistre chaque jour dues à la mauvaise langue de quelques opposants malhonnêtes, on pourrait trouver facilement qui est en train de ronger notre pays, qui est le véritable ennemi de l’économie Gabonaise.

Ce sont eux qui empêchent les investisseurs de venir au Gabon par des déclarations folles de guerre, de naissance de rébellions et j’en passe. Marc Ona Essangui et ses sbires sont des anti développement et des voyous de grand chemin. 

J'attends avec impatience que la justice vous écarte définitivement de la société.


MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

GABON : SUPER INDIGNÉ PAR MARC ONA ESSANGUI LE JETEUR DE PIERRES DU 8 JUIN

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Marc ONA ESSANGUI : jamais je n’ai vu un  activiste aussi aigri, irresponsable et au cœur charbonneux.

Il fait  pitié le bonhomme qui n’est ni plus, ni moins  couard qui se réfugie derrière une ONG pour oser faire la politique.

Aujourd’hui voulant occuper la une de l’actualité et profiter de la formidable présence médiatique internationale du New York Forum Africa, ce sieur qui représente à peine sa seule personne, a agressé (eh oui !) les forces de l’ordre qui l’interpellaient pour en savoir plus sur les tenants et aboutissants d’une manifestation non autorisée, non déclarée d’une nébuleuse organisation sortie d’une âme déstabilisatrice, désemparée et désœuvrée.

On lui a découvert aujourd’hui ….au grand dam des policiers blessés par ses projectiles et rafales, des talents qui nous forcent à solliciter auprès du Chef de l’Etat l’octroi d’une bourse exceptionnelle et sans passage à la commission technique, de spécialisation en jets de pierre, même s’il s’agit plus d’une discipline de vandale que de champion olympique.

Plus sérieusement, le gus ONA est un prototype de la sécheresse intellectuelle et créative qui mine ces pseudo-intellectuels, donneurs de leçons et incapables sociaux majeurs, plus prompts à la critique stérile qu’à la contribution positive au développement de leur pays.

Mouvement indigné ? bien tardif  et surtout spécialisé dans le plagiat, le suivisme et l’importation d’initiatives vues ou entendues ailleurs à la différence notable que là ce n’est guère plus de trois pelés et deux tondus oisifs.

Quand on est véritablement du côté du droit, de ceux qui souffrent, de la justice, on ne se tait pas quand un individu agresse la police nationale, fracasse jambes et crânes et crie au martyr sur les antennes et blogs d’ici et d’ailleurs.

Quand on réprouve les excès de Marc Ona  et ses turpitudes épisodiques, on prend position officiellement et de manière claire et nette.

Un individu qui n’a rien réalisé de sa vie sinon des malversations avérées, du trafic d’influence doit tout simplement fermer son caquet, surtout lorsqu’il rame à contre-courant de l’histoire et du progrès !

La prochaine fois, il n’y aura aucune pitié, mais une fessée publique méritée.

 

MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

 

GABON : COMMUNIQUÉ DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

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Dans une correspondance n° 000458/BF/SE/12 du 5 juin 2012 adressée au Ministre de l’Intérieur, le Président de l’Association Brainforest a informé le Ministre de la tenue d’une manifestation au collège BESSIEUX, manifestation  dont la nature n’était pas déclinée.  Il sollicitait par la même occasion la sécurisation de ladite manifestation par la Force Publique.

Le Ministre de l’Intérieur n’ayant ni la nature de la manifestation, ni l’accord du ministère de l’Education Nationale tutelle du collège BESSIEUX ou encore moins celui des responsables de cet établissement, a indiqué à M. Marc ONA ESSANGUI, dans la correspondance n° 0856/MISPID/SG/CE1 datée du 7 juin 2012 son refus de donner l’autorisation pour la tenue de cette manifestation même si l’objet de la lettre du requérant était tout sauf une demande d’autorisation.

Ce matin vendredi 8 juin 2012 à 9 heures, malgré la présence des policiers mis en faction dans les environs du collège BESSIEUX, à la demande de M. le Proviseur de l’établissement pour empêcher l’utilisation de ses locaux, le président de Brainforest a tenu à faire sa manifestation, proférant des menaces et injures aux agents des forces de l’ordre. Ces derniers l’ont interpellé en compagnie de certains de ses sympathisants. Après avoir été entendu par les services de police, ils ont été relâchés à 13 heures.

Le Ministre de l’Intérieur rappelle à tous, que la République Gabonaise est régie par des lois et que l’Etat de droit voulu par nous tous, implique le respect scrupuleux desdites lois par les citoyens et toutes organisations constituées comme les associations et les partis politiques.

Monsieur Marc ONA ESSANGUI président de l’ONG Brainforest déclarée au Ministère de l’Intérieur sur la base de la loi n° 35/62 du 12 décembre 1962 est astreint aux lois du Gabon.

Il est à noter que ce compatriote activiste devient coutumier  du fait. Pour preuve, en 2008, mon prédécesseur au Ministère de l’Intérieur l’avait fait interpeller puis incarcérer à la prison centrale de Libreville pour non respect des lois de la République. Plus près de nous, alors que tout le peuple gabonais avait fait chorus pour l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations de foot ball dans notre pays, M. Marc ONA ESSANGUI s’est singularisé par le boycott de cette fête de la jeunesse continentale.

De plus, bien que président d’une ONG apolitique, ayant des objectifs et une raison sociale bien définis dans la défense des droits de l’environnement, Marc ONA ESSANGUI s’est illustré en décembre dernier, aux côtés des formations politiques par un boycott actif des élections législatives.

Il est établi qu’en République Gabonaise, tout citoyen âgé de 30 ans révolus et qui veut faire la politique, crée une formation politique sur la base de la loi n° 24/96 du 6 juin 1996. Si tant est que le président de l’ONG Brainforest veut faire de la politique, il n’avait qu’à s’y conformer pour prendre part au suffrage universel.

Le Ministre de l’Intérieur rappelle enfin qu’il ne saurait plus tolérer de tels égarements qui n’honorent pas notre pays et que force restera à la loi.

 

Jean François NDONGOU

Ministre de l'Intérieur, de la Sécurité Publique, de l'Immigration et de la Décentralisation. 

 

MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

08/06/2012

Gabon-TheNewYorkForum Africa : DISCOURS DE S.E. ALI BONGO ONDIMBA

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Chers Hôtes,

Mesdames, Messieurs

 

Le Gabon, par ma voix, vous souhaite la bienvenue en terre africaine, ici à Libreville, au cœur du continent.

Je voudrais, à l’entame de mon propos, en ce 8 juin 2012 qui marque le 3ème anniversaire du rappel à Dieu du Président Omar Bongo Ondimba, solliciter une minute de silence, à la mémoire du panafricaniste, de l’homme d’ouverture  et citoyen du monde qui n’a cessé d’œuvrer au rapprochement des cœurs et des peuples au Gabon , en Afrique et dans le monde.

Merci !

 

Mes concitoyens et moi-même sommes particulièrement  honorés de vous retrouver ici dans l’enceinte de la Cité de la Démocratie, symbole de l’engagement et de la volonté de notre pays de réaliser l’intégration économique du continent africain, vecteur essentiel de la mise en œuvre des politiques émergentes.

Le Gabon, dans cette interpellation et ce processus, nourrit des ambitions que résument le concept et la stratégie du Gabon Emergent, bâtie autour de trois piliers ce diversification et de croissance au Gabon que sont le Gabon Industriel, le Gabon Vert et le Gabon des Services.

Ce forum nous garantit une réelle opportunité de décliner notre vision et les moyens mis en œuvre pour la réaliser.

Notre patrie, terre d’accueil, doit rester un modèle pour l’Afrique par :

- la défense et l’amélioration de notre rang en Afrique ainsi que notre place dans le monde moderne.

- la concrétisation de notre objectif d’une croissance durable à 2 chiffres

- un rôle clé dans le processus indispensable d'une réelle intégration régionale

- l’offre d’une plateforme attractive pour tout investisseur étranger sérieux, engagé, soucieux de rentabilité et d’assurer un retour sur investissements attractif.

- la construction d’un réel futur à notre jeunesse

C’et le lieu de nous réjouir des investissements directs étrangers synonymes de valeur ajoutée, de création d’emplois par un mode d’action aux effets directement visibles et porteurs.

Le Gabon est déterminé à réinventer notre façon de travailler, à réfléchir et à bâtir des partenariats gagnant-gagnant, à investir dans une dynamique de développement durable qui ne sacrifie pas notre patrimoine pour un développement économique non maîtrisé 

Nous continuerons à construire un pays où règnent la paix, l’unité nationale, la démocratie, la justice et l’Etat de droit pour un  développement humain harmonieux.

Ces engagements et  souhaits ne sont pas que des vœux pieux ou des vues chimériques. Ils sont à notre portée et commencent à prendre forme dans ce que nous considérons, dans notre Plan Stratégique du Gabon Emergent comme l’étape de la compétitivité.

La compétitivité pour nous se décline par la construction et la consolidation de 4 fondements essentiels, porteurs et structurants qui sont :

- Le capital humain avec un plan décennal de l’éducation, de la  formation  et de la recherche tourné vers nos besoins réels et nos potentialités existantes

- Les infrastructures pour un aménagement harmonieux du territoire national qu’il s’agisse des infrastructures de transport, numériques, énergétiques ou hydrauliques

- Le cadre des affaires que nous sommes en train de bâtir pour atteindre les standards de classe internationale

- L’accès aux marchés et l’appui au secteur privé local, qui par son dynamisme s’insérera dans les réseaux d’échanges mondiaux, générateurs de plus-value

Du succès de cette étape dépend celle de la croissance accélérée et c’est pourquoi nous avons mis en place les moyens de renforcer les facteurs clés de compétitivité globale.

Ces objectifs sont à notre portée et nous y travaillons inlassablement, dans l’immédiat et sur la durée.

En effet, alors que le Monde a été totalement bouleversé politiquement et économiquement en moins de 24 mois, que les équilibres ont été bouleversés, que des puissances économiques ont été ébranlées, que des catastrophes naturelles ont dévasté des pays dans le top 5 de l’économie mondiale, le Gabon est resté debout et bel et bien debout. 

Pour tenir encore  et toujours debout, aller plus loin , plus haut, plus fort nous savons pouvoir compter , comme je ne cesse de le répéter, par conviction, sur une jeunesse consciente de son rôle et de ses responsabilités, imbue des valeurs fondamentales de son peuple. 

En l’occurrence ici, au Gabon, la jeunesse s’affirme de plus en plus comme  une actrice majeure et une pourvoyeuse de solutions dans un  monde contemporain exposé à de multiples défis et mutations lesquelles plutôt que des menaces, sont autant d’opportunités ouvertes et à saisir par tous.

Continuant  à m’inscrire dans l’esprit et la lettre du Discours de Yaoundé de Mai 2010 où  j’avais abordé le thème de la jeunesse africaine face aux enjeux du développement, je réaffirme ici devant vous,  ma conviction que «  la dure, la vraie réalité est que l’Afrique n’a pas suffisamment investi dans le développement du capital humain pour tirer profit du capital que représente sa population juvénile d’une part »  et  que « je reste convaincu que les jeunes africains peuvent changer le monde et doivent changer le monde et il faudra désormais et de plus en plus compter sur elle. »

 

Mesdames, Messieurs

En accueillant la CAN en Janvier dernier, nous savions que nous avions les mêmes chances que les meilleures équipes pour trôner à la tête du football africain. Nous avions même un léger avantage de jouer devant notre public qui a su porter notre équipe à un niveau des plus honorables. 

L'équipe a été remarquable mais notre public, nos supporters l’ont été tout autant, en accompagnant avec enthousiasme et  ferveur toute la compétition jusqu’à son terme.

Notre ambition sportive en accueillant la CAN est la même que nous avons sur  le plan économique.

Tout comme sur l’aire de jeu, nous aspirons à remporter le trophée en nous en donnant  les moyens, en mouillant tous le maillot, en respectant les règles de fairplay et l'éthique  sans lesquelles il ne saurait y avoir de bonne gouvernance.

Comme dans une équipe sportive,  nous voulons donner, chaque jour davantage  à chacune et à chacun une chance de trouver sa place dans l’équipe selon ses compétences,  son engagement, sa persévérance, sa discipline, son esprit d’équipe. 

Je sais, vous aussi savez que nous sommes à un tournant clé de notre histoire et de celle de notre continent. 

 

The world is looking at Africa in a new way. 

Despite all prejudices, Africa has the power to attract and fascinate.

Beyond her problems, Africa is a diverse continent, blessed with incredible natural and cultural resources, wonderful people and a rich history.

Your presence here in Libreville is a living and eloquent testimony to that.

Ladies and Gentlemen:

The world has high expectations of Africa, and calls our continent “The Next Frontier”. Africa must live up to these expectations by succeeding in her Emergence. And we will succeed, because we have no alternative.

Here in Gabon, we know that we have a collective mission: to give our children a bright future, a safe environment to grow up in and multiple opportunities for personal development. We owe it to them to make Gabon a better place. 

This is why we must work together today to create the conditions in which our country and our economy can move forward once and for all.

For the last 30 years, Gabon has been positioning itself as an oil exporting country and so, in general, our economy relies mainly on this commodity. While this may seem like a comfortable position to be in, it is actually extremely fragile.

We need to change this situation and build a stronger economy that is more diverse and based on sustainable resources. This is the idea behind the Emerging Gabon development plan. 

I am hoping that the New York Forum for Africa will generate the same sort of energy that can be felt in that famous city that never sleeps: New York. 

I want our Forum to provide an exceptional platform for productive exchanges, and for those exchanges to result in the creation of genuine partnerships across all of the projects presented. Our projects mainly revolve around infrastructure and investments for the production sectors, and aim to create added value for our produce and jobs for the Gabonese people, and in particular the young. We must follow up on the contacts we make during these three days and ensure that they translate into tangible results. 

Myself, my staff, the members of my government, and Gabonese private sector representatives will be here for you throughout your visit to ensure that your stay in Libreville is effective and fruitful for both you and my country.

 

UNITED WE STAND!

 

Everyone knows this expression. Today, Africa is claiming it as its own.

GABON : COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

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Ce Vendredi 8 Juin 2012, Monsieur Marc ONA a tenté d’organiser une manifestation non autorisée au Collège Bessieux.

Face à ce cas patent de  troubles à l’ordre public  Monsieur Marc ONA a été interpellé par la police et s’en est pris violemment aux forces de l’ordre par des jets de pierre répétés, causant quelques blessures parmi les policiers.

Monsieur ONA contrairement aux rumeurs urgemment distillées est libre de tous ses mouvements.

Le Ministère de l’intérieur réitère que toute manifestation publique sur le territoire national, doit  faire l’objet d’une demande expresse. Le Ministère a en effet la responsabilité de prendre les dispositions d’encadrement appropriées afin d’éviter les dérapages ou violences d’une part et de garantir la libre expression et la sécurité de tous les citoyens d’autre part.

L’intéressé n’a pas cru devoir se soumettre à cette obligation alors que nul n’est sensé ignorer la loi.

N’eut été la sérénité des forces de l’ordre qui l’ont laissé libre de ses mouvements, les choses auraient pu prendre une autre tournure.

L’intéressé a pu tenir sa manifestation sans représailles en l’absence de précision de la personne morale qui en prenait l’initiative.

Les forces de l’ordre tiennent à ce que cette précision de la structure qui organise la manifestation soit clarifiée.

Le Ministère de l’Intérieur assurera le respect de l’ordre public sans tomber dans le piège de la provocation.

 

FIN

 

06/06/2012

GABON : « Bienvenue chez les Myènè ! »

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Il y a quelques jours, Jeune Afrique, qu’on avait connu plus sérieux et responsable, nous a offert, disons même imposé, une couverture racoleuse intitulée « Bienvenue chez les Fangs ! ».

Que n’auraient hurlé les grandes consciences morales auto-proclamées de ce pays, notamment les bandes d’agités de la fameuse société civile, si cet hebdomadaire avait titré « bienvenue chez les Myènè, les Punu, les Téké ou les Ndzébi ») ?

N’ayons pas peur des mots ! Cet article de Jeune Afrique est un malheur pour le Gabon, et il semble annoncer d’autres malheurs plus grands. Mais, comme on dit, à toute chose, malheur est bon.

Grâce à Georges Dougueli et à son inspirateur bien connu nous allons profiter de l’occasion pour dire notre part de vérité sur cette gigantesque fantasmagorie que constituent les relations inter-ethniques au Gabon et principalement sur la question Fang au Gabon, puisque, manifestement il y a une question Fang au Gabon.

On aura remarqué d’ailleurs que dans un papier qui annonce l’Afrique Centrale, tout le contenu ne concerne que le Gabon et précisément le Woleu-Ntem. Que ceux qui ont des oreilles pour entendre, entendent. Que ceux qui ont des yeux pour voir, voient.

Si l’on en croit Dougueli « c’est le débat interdit. Celui qui ne se tient ni à la télévision, ni à la radio, ni dans les amphithéâtres de l’université de Libreville… ».

Dougueli n’a pas tort. Il n’a pas raison non plus. Il n’a pas tort, parce que, en effet, il n’y a jamais eu de débat. Il a tort car personne, contrairement à ce qu’il affirme ne nie l’existence d’une question fang au Gabon quand bien même il ne s’agit que d’un fantasme d’auto-victimisation à des fins hégémoniques. On y reviendra.

Dougueli a raison de dire qu’il n’y a pas de débat sur la question, c’est-à-dire un échange raisonné entre deux ou plusieurs personnes. Il n’y a pas débat, en effet. Il y a un long monologue victimaire depuis toujours et encore plus depuis trois ans.

En effet, il ne se passe pas une semaine sans qu’un journal gabonais ne nous sorte la petite chanson du pauvre peuple fang opprimé au Gabon. Ces trois dernières années, ce que tout le monde chuchotait, ce que certains pensaient tout bas est mis sur papier, et ne parlons pas d’internet.

Il ne se passe pas une semaine sans qu’un journal ne nous fasse état de la stigmatisation du peuple fang (on ne sait par qui) sans que nul ne s’en émeuve, alors que de tels articles sont clairement contraires à toutes les lois en vigueur au Gabon.

Alors puisque l’heure de vérité est arrivé. Allons-y. Le temps est venu de répondre, non pas aux Fang qui n’ont mandaté personne pour parler ou se plaindre à leur place, mais pour apporter la contradiction nécessaire à tous les ethno-fasciste de cette communauté qui pensent être les seuls à avoir le droit de parler et d’écrire.

Le terrorisme a assez duré, la peur doit changer de camp. Sans haine et sans passion (comme eux). Le temps est arrivé, en effet, de la démolition méthodique des clichés, des idées reçus, des fausses vérités et pour tout dire des mythes qui servent de vérités quand il s’agit des Fangs du Gabon.

 

Mythe N°1 : Les Fangs ne sont pas des Bantu

C’est peut être le mythe fondateur de la question fang au Gabon. Un mythe qui, comme tous les gros mensonges, a finit par devenir une vérité chez nombre de Fang qui se sentent heureux fiers d’être « différents » des autres Gabonais puisque venant « d’ailleurs ». Un mythe qui arrange tous ceux qui détestent les Fangs ou qui ont intérêt à les écarter du jeu politique nationale. Ils y réussissent formidablement et d’autant plus facilement qu’un grand nombre de Fang ont choisi de croire au mensonge idiot et ridicule de leur non-bantuité.

Voilà comment on nous a servi les loufoqueries mvéttologiques d’un Grégoire Biyogho. Sans que personne à l’université ne réagisse. Ni les Fangs, ni les non-Fang. Les uns parce que les farces biyoghesques les arrangent, les autres de peur de subir l’infamie suprême : c’est un anti-fang !

Nous sommes là au cœur du terrorisme d’un projet hégémonique. Toute critique d’un individu se transforme aussitôt en une haine contre une communauté. Et pour ne pas être accusé d’être anti-Fang, on a laissé prospérer des écrits faux, pitoyable et honteux.

1OO ans qu’on nous sert, au mépris de la science, une fausse origine égyptienne attestée par rien du tout. 100 ans qu’on a transformé les illuminations d’un catéchiste camerounais lisant la Bible à sa sauce locale (Les enfants d’Afiri kara) en de l’Histoire. Depuis lors, d’autres ont fait mieux : l’Egypte c’était encore trop près, pas assez noble. Les dernières blagues nous parlent désormais d’Israël.

Lançons un défi : qu’un linguiste sérieux de l’UOB, Fang ou non, viennent nous démontrer que le Fang n’est pas une langue bantu. Gabaon ouvrira ses pages.

Lançons un autre défi : qu’un scientifique sérieux viennent nous démontrer, preuves scientifiques à l’appui, que les Fangs viennent d’Egypte ou d’Israël. On attend !

Il n’y aura personne, parce que au 21ème siècle, nul scientifique tenant un tant soit peu à sa réputation ne peut prendre le risque de venir publiquement se ridiculiser en affirmant de telles inepties.

Rappelons donc à ceux qui continuent, par ignorance ou par plaisir, de croire à ce mythe qu’il ne s’agit que d’une simple construction anthropologico-politique inventée par des explorateurs en mal de fantastiques, reprise par les missionnaires catholiques et récupérée par l’administration coloniale pour diviser et régner.

Aucun Fang ne peut réciter une généalogie qui se termine par Touthankamon ou Aménophis. C’est l’homme blanc qui a inventé cette histoire pour opposer les Fangs aux Mpongwè, en particulier, et aux Myènè, en général.

De la même façon que les Allemands et ensuite les Belges ont construit des ethnies là où il n’y avait à l’origine que des classes sociales avec les conséquences que l’on sait, de la même façon, les Français ont accrédité la fausse hypothèse de l’origine égyptienne des Fangs pour leur propre intérêt.

Notons au passage, comme par hasard, que le premier qui fait allusion à cette farce, avant que les prêtres catholiques ne l’affinent, est un Allemand : Gunther Tessman, auteur du premier livre spécifiquement consacré à ce groupe (Die Pangwe).

Pourquoi une telle construction, sans le moindre fondement scientifique a pu passer l’épreuve du temps ? Tout simplement parce qu’elle arrangeait tout le monde, l’administration coloniale en premier.

Déçus par les Mpongwè et les Myènè en général avec qui ils avaient contracté en prenant pied sur ce qui allait devenir le Gabon (indociles, eh oui !, « paresseux », « fétichiste »…), les Français décident de rebattre les cartes en fabriquant un groupe dont la vocation première était de s’opposer, par le nombre aux peuples côtiers.

Ce peuple « neuf », « pur », « non pollué par l’Occident », « fort », « guerrier », « travailleur » venant d’ailleurs, « d’origine nilotique », c’est le Fang du Français. Et dire qu’on nous fait croire que les Français détestent les Fangs !

Ce sont les Français qui sont allés chercher les Fang dans l’hinterland pour les installer sur les terres des Mpongwè à Libreville. D’où la création au début du siècle dernier par l’aristocratie mpongwè du premier mouvement politique gabonais, le Comité Mpongwè auquel répondra peu après, le Comité Fang d’Edouard Nguéma. Volià l’Histoire, la vraie.

Ce sont encore les Français qui laisseront s’organiser (à défaut de l’organiser eux-mêmes) le seul exercice à visée hégémonique en période coloniale, le tristement célèbre Congrès Fang de Mitzic ayant vocation a unir tous les Fangs répartis sur le territoire  de la colonie du Gabon avec ceux du Cameroun et de la Guinée Equatoriale afin de définitivement assurer la domination de cette communauté sur la colonie.

Il n’existe aucun autre exemple de ce type au profit d’une autre communauté au Gabon et certainement ailleurs en Afrique. Une telle fiesta ne pouvait se tenir qu’avec la bénédiction des Français. Rappelons que nous sommes en 1947. En pleine période coloniale. On imagine mal les autorités coloniales organiser une manifestation aussi ouvertement politique.

La réalité est, hélas, plus prosaïque : Les autorités du territoire ont accepté d’exécuter les instructions de Brazzaville, le Gouverneur Général de l’AEF Félix Eboué voulant préparer l’arrivée au pouvoir de son poulain et ancien collaborateur, Jean-Hilaire Aubame (comme chacun sait, le plan ne marchera pas, puisque c’est, paradoxalement, Léon Mba qui tirera les marrons du feu). Mais on va toujours nous dire que les Français n’ont jamais aimé les Fangs.

 

Mythe N°2 : Les Fangs sont majoritaires au Gabon

Voilà un autre mythe ! Que les Fangs soient majoritaires en Guinée Equatoriale, c’est un fait patent. Qu’ils le soient au Gabon, c’est un abus de langage volontaire puisqu’il a vocation à servir une cause : la revendication du pouvoir d’Etat.

Or la vérité des mots est celle-ci : les Fangs sont l’un des groupes les plus nombreux du Gabon. Et si l’on se fie aux chiffres de l’expert Georges Dougueli, ils seraient 30 à 45% de la population gabonaise, ce qui reste à vérifier.

Soit, admettons donc 45%. Cela n’est pas une majorité, au sens politique du terme. Majorité qui justifierait une légitimité divine à exercer le pouvoir au Gabon. Si l’on prend toujours les chiffres de Dougueli, il reste toujours 55% à 65% de Gabonais qui ne sont pas Fangs et qui, à l’évidence, constituent la majorité.

Tout ceci est ridicule. Les Fangs n’ont pas de légitimité ou de raison particulières de diriger le Gabon. Ni eux, ni aucune autre communauté. Celui qui veut diriger démocratiquement le Gabon a une seule chose à faire : éviter d’apparaître comme le candidat de son ethnie et donc jouer la carte nationale.

C’est ce qu’à fait Léon Mba et cela lui a réussit. C’est ce que n’avait pas compris Jean-Hilaire Aubame et c’est ce qui en a fait un perdant de l’Histoire.

Même si, une fois de plus, on va nous ressortir la théorie du complot français soutenant Léon Mba le valet de la France contre Aubame, le patriote.

Un autre mythe : entre ces deux leaders (Fangs) la fabrication des Français c’est Aubame, pas Léon Mba que les mêmes Français feront tout pour éliminer de la scène politique avant de réaliser, à la veille de l’Indépendance que leur poulain ne faisait pas le poids et était trop marqué Fang et de récupérer Léon Mba ensuite.

Au passage, aucun des deux ne votera pour l’indépendance en 1958. Leurs deux partis (BDG et UDSG) appelleront à voter Oui au vrai-faux référendum de de Gaulle en 1958. Le seul qui s’y opposera sera René-Paul Souzatte du PUNGA.

 

Mythe N°3 : Les Fangs sont les plus intelligents et les plus diplômés au Gabon

On l’entend tous les jours dans les bistrots comme dans les administrations : « les Fangs souffrent alors que ce sont les plus intelligents et les plus diplômés du Gabon ».

Où se trouve l’étude qui le démontre et qui l’a réalisée ?

Outre que personne ne peut démontrer une telle affirmation, comment peut-on, au 21ème siècle, tenir des propos aussi racistes ?

Une fois de plus, il s’agit d’une vieille construction coloniale qui a la peau dure.

Il y a autant de gens brillants que d’idiots finis chez les Fangs, comme dans toute communauté humaine. Sauf a dire qu’il existe un gêne de l’intelligence qui serait plus présent chez les Fangs que chez d’autres. Si c’était vrai, ça se saurait. Ne fut-ce qu’en Guinée Equatoriale où les Fangs ne sont opprimés par personne, on aurait tous les ans des bataillons d’inventeurs, d’artistes, des prix Nobel etc. Or, rien.

Cela n’est pas sérieux et cela relève surtout du nazisme le plus nauséabond.

Quoi d’étonnant qu’il y ait un grand nombre de diplômés d’origine fang ? Le nombre d’idiots, d’intelligents, de voleurs, de tricheurs ou d’assassin est normalement proportionnel à la taille du groupe concerné. Et rien n’indique que les fangs échappent à la règle.

Comment comparer le nombre de diplômés d’origine Ivéa ou Enenga (qui sont quelques centaines) à celui des Fangs ou des Punu qui sont des centaines de milliers ?

De la même, façon qu’il n’y aucune gloire à avoir été les premiers à croiser la route de l’homme blanc et partant à aller à son école, de la même façon il n’y a aucun mérite à être les plus nombreux. Se prévaloir de son nombre est un reflexe plus proche de l’animalité que de l’humanité.

 

Mythe N°4 : Les Fangs sont victimes du tribalisme mais ils ne sont pas tribalistes

L’air est connu, celui du pompier pyromane, celui des gens biens qui n’ont rien à se reprocher et pour qui, l’enfer c’est toujours les autres.

Quand on écoute ou lit certains, le tribalisme n’a qu’une seule forme d’expression : anti-fang. On en déduit donc que les Fang aiment d’un amour intense les autres Gabonais, que les Fangs ne se s’organisent jamais entre eux, que les Fangs ne privilégient jamais les Fangs au détriment des autres Gabonais, que les Fangs voudraient bien prendre époux ou épouse dans les autres communautés qui s’y opposent…

Qui peut croire à un tel conte de fée ?

La vérité nue est terrible : au minimum, les Fangs sont au moins aussi tribalistes que les autres communautés. En fouillant un peu, on peut même prendre le risque d’affirmer qu’ils constituent la communauté dans la laquelle le réflexe ethnique a été et demeure le plus vivace.

Attention : le seul fait d’être Fang ou Punu ne rend pas l’individu beau ou tribaliste ! Que les choses soient claires. Le tribalisme est social, il n’est pas génétique. Autrement dit, tous les Fangs ne sauraient être tribalistes.

Ceci dit, on ne peut s’empêcher de constater que la tendance au tribalisme, au repli sur la communauté, est très prononcé chez les Fangs du Gabon. Et ça ne date pas d’aujourd’hui, ni du règne d’Omar Bongo.

Cela fait plus de cinquante ans que nombre de  Fangs, particulièrement ceux du Woleu-Ntem grandissent avec un sentiment d’exclusion et de rêves d’âge d’or n’ayant jamais existé encouragés par un fort désir de ne pas se diluer dans une identité autre que Fang. Or ce n’est pas en cultivant le mythe de la persécution qu’on devient semblable aux autres. Au contraire.

Combien de fois n’a-t-on entendu des Fangs du Gabon se plaindre de ce qu’ils seraient toujours obligés de prouver leur attachement au Gabon ? Un dénommé Firmin Obame Nguéma l’a encore confié à Jeune Afrique.

Réalité vérifiable ? Fantasme ? Sentiment diffus ? Difficile de répondre. Il reste que tant que nombre de Fangs continueront à se considérer plus Fang que Gabonais, ils ne pourront empêcher le soupçon. Tant que des Fangs gabonais chanteront la gloire de leur « parent » Obiang Nguéma Mbazogho, ils ne devraient pas s’étonner d’être suspects d’anti-Gabon.

On l’a vu à la veille et pendant la dernière CAN. Dans la presse écrite et en ligne, on a pu lire des personnalités Fangs gabonaises souhaiter l’échec de la CAN au Gabon et vanter les mérites de la Guinée Equatoriale. Marc Ona Essangui en fait partie avec tant d’autres. Comment ne pas être suspecté de cinquième colonne dans ce cas.

Quelle est la seule communauté qui dispose d’un réseau de journaux mobilisés pour la défense des « intérêts de la communauté » ?

Quel est le seul journal gabonais qui a cassé le tabou national en se proclamant « Echo du Nord » ? Comment être surpris que les autres doutent de la gabonité de gens qui tout en vivant et travaillant à Libreville produisent, à Libreville, un journal qui porte un tel titre, proprement honteux et scandaleux ?

En France, on connaît un grand quotidien régional qui s’appelle La Voix du Nord. Il a son siège dans le Nord de la France, à Lille. De même pour Le Parisien, Les Dernières Nouvelles d’Alsace ou Ouest-France.

Tous ces titres sont des quotidiens régionaux sans d’ailleurs assurer des intérêts régionaux. Ils donnent une information centrée sur la région de production. Rien n’a voir avec Echo du Nord. Alors ? Avant d’accuser les autres de vous ostraciser, vérifiez vos propres comportements.

Si on dressait le palmarès des cabinets ministériels et des administrations où domine la couleur ethnique du ministre concerné, il y a fort à parier que depuis l’indépendance ce soit les ministères dirigés par des originaires du Nord du pays qui occuperaient la plus haute marche. Que ceux qui doutent vérifient ne fut-ce que dans le gouvernement actuel puisque les nominations ont commencé il y a quelques semaines seulement.

A quelle communauté appartient un « politologue » qui a pu sans gêne pendant des mois inonder Le Mbandja d’articles dégoûtants censés montrer scientifiquement la grandeur des Fangs du Moyen-Ogooué et l’oppression dont ils seraient victimes depuis 50 ans ?

Comment se fait-il qu’aucun Fang ne ses soit levé pour dénoncer de tels papiers étalant la haine du Galwa ? Etonnez-vous ensuite de faire peur.

Quel est le seul homme politique « gabonais » qui a voulu vendre Mbanié à Obiang Nguéma Mbaosogho ? C’est Mamboundou ou Agondjo ? C’est bien André Mba Obame !

Quel est le seul homme politique « gabonais » qui ait menacé de sécession ? Est-ce Yembit ou Gondjout ? Evidemment c’est Yves Evouna qui est allé exciter les villageois dans le Nord avant que ces derniers ne le dénoncent à Léon Mba. Et nous ne sommes pas sous Bongo, mais 1958 !

Pour ceux qui ne vivent que dans les fables, un peu d’Histoire et donc de faits authentiques pour bien montrer qu’il n’y a absolument rien de nouveau sous le soleil du Gabon. Que le tribalisme dont tout le monde se gargarise aujourd’hui en accusant les autres est là depuis kala kala.

Partageons  les débats de l’Assemblée Teritoriale du Gabon, séance du 18 octobre 1957 (journal des débats disposnible aux Archives Nationales) :

Raphaël Boubala : « Je voudrais répondre à mon collègue Ndong… De toutes façons vous nous direz toujours que nous ne sommes pas des Pahouins » ;

Yves Evouna : « Je mets engarde l’Assemblée contre des probables troubles… » ;

Raphaël Boubala : « M. Evouna, il n’y aura pas de troubles au Gabon ; s’il y en a, il n’y a que vous qui puissiez les introduire… » ;

François Méyé : « La façon dont le Conseil de Gouvernement va être composé n’est pas de nature à faire régner la paix entre les Gabonais, parce qu’il y a des discriminations de races… » ;

Mokoko : « Vous détestez  la région de l’Ogooué-Ivindo… » ;

Yves Evouna : « Si la situation persiste, nous serons obligés de regagner le Cameroun… »

Sans commentaire !

Quelle autre communauté gabonaise s’organise avec autant d’indécence dans et hors du pays et notamment sur internet ?

Allez voir les sites suivants. Vous en sortirez avec, au choix, honte, dégout, pitié ou peur :

http://www.monefang.com/congres.html

http://be-fangbeti.fr-bb.com/t158-congres-de-mitzic

 

À titre d’exemple, voici ce qu’écrit un brave Fang gabonais masqué sous le pseudo Ortega en septembre 2009 : Gabon : Essigan (LBV) : Avis aux Fang 16-09-2009

16/09/2009 à 22h38 – mis à jour le 16/09/2009 à 22h40 | 2446 vues | 21 réactions

Ce message s’adresse essentiellement à tous les Fang du Gabon. Depuis que je crois avoir la capacité de penser les affaires du Gabon, je me rends compte qu’il y a une véritable difficulté à être Fang au Gabon. En effet, le Fang doit toujours prouver qu’il est gabonais comme les autres pour lever tout soupçons sur lui. Pour le reste des gabonais, le Fang représente un véritable danger, un cancer qu’il faut extirper du Gabon. Ici et là, on parle d’Unifang en parlant du congrès de Mitzic. Tout le monde peut fauter sauf un Fang. Au cours de la dernière présidentielle, j’ai vécu le fait d’être Fang comme une véritable difficulté. Oui au Gabon, il y a un problème à être Fang. Pour peu que Eyeghe Ndong et Mba Abessole s’alignent derrière Mba Obame, on a ressorti les choses comme le repli identitaire fang. On a évidement passé sous silence ou presque l’ACR. Mais à l’observation, si les résultats du HO sont exacts, où s’est opéré le repli identitaire? Mon cœur pleure. J’invite tous les Fang à quitter le Gabon, à chercher asile sous d’autres cieux. Ainsi, le Gabon ira de l’avant. Et si on nous refuse partout, pourquoi pas un suicide collectif ? On dispensera les Gabonais du Tout sauf Fang. Qu’en pensez-vous ?

(http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2009/09/16/1699814_gabon-essigan-lbv-avis-aux-fang-16-09-2009.html)

Et que dire de celui-ci-dessous (www.unifang.org), dirigé par une certaine Félicité Vincent, Franco-Gabonaise, et dans lequel se donnent à voir les André Mba Obame et autres Mengara. Appréciez la finesse du propos et le nationalisme des positions : Je pense que, nous devons être plus fort comme les juifs, créer un Etat fang, comme l’Etat Hébreu ! Un Etat fang maintenant, et non à un Messada, c’est un lieu en Israël ou les juifs avaient décidé le suicide collectif. Nous sommes Abel, et non Caïn ! Nous sommes Jésus, et non Judas Iscariote. Un conseil, mon frère, ayez espoir du changement. Les fondateurs du congrès de Mitzic ont laissés un espoir, et cet espoir est le point nodal de notre lutte, aujourd’hui, maintenant et demain ! Félicité VINCENT.

Georges Dougueli et Jeune Afrique nous ont montré la carte du « pays Fang », les illuminés d’UNIFANG en sont déjà à celle de leur futur Etat regroupant la Guinée Equatoriale, le Sud du Cameroun, le woleu-Ntem et une bonne partie de l’Estuaire : Le futur état d’Ayong Ekang

En passant, les plus perspicaces auraient noté que le logo de ralliement de tous les suprémacistes fangs est inspiré du drapeau équato-guinéen (les étoiles au-dessus de l’arbre Adzap) !  

On se souviendra aussi que, le logo du candidat Mba Obame aux élections de 2009 n’était rien d’autre qu’une copie vert-jaune-bleu du logo du PDGE, le Parti Démocratique de Guinée Equatoriale d’Obiang Nguéma. Simple hasard ? Que doivent penser les autres Gabonais de tout ça ? Du bien ?

 

Mythe N°5 : Les Fangs sont ostracisé au Gabon

Si l’on en croit certains défenseurs du « peuple opprimé », du genre Florence Bernault ou (à une certaine époque) Pierre Péan, le repli entre soi des Fangs serait simplement la réponse aux frustrations dues à l’ostracisme qui frapperait systématiquement les membres de ce groupe. Encore un mythe que rien ne vient attester.

Depuis une quarantaine d’années, le Premier Ministre de ce pays est Fang, et depuis quelques mois du Woleu-Ntem.

Le Chef d’Etat-Major Général des Armées est Fang

Sur les 28 membres de l’actuel gouvernement, 6 sont Fang, combien en faudrait-il pour que les Fangs ne se sentent pas exclus ?

Le nouveau collège du CNC compte 3 Fangs sur 9. Combien en faudrait-il pour que les Fangs se sentent impliqués dans la marche du Gabon ?

Sur les 15 membres du Bureau de l’Assemblée nationale, 4 sont Fangs dont le 1er Vice-Président. Combien en faudrait-il pour ne pas se sentir méprisé ?

Faut-il continuer le décompte avec les secrétaires généraux, les directeurs généraux, les présidents de cour, les doyens, etc…

 

La question de fond : Pourquoi les Fangs mériteraient-ils plus ou moins que les autres ?

Pour quelles raisons, en effet, les Fangs devraient-ils avoir un traitement particulier, positif ou négatif ? Pourquoi ceux qui le méritent ne devraient-ils pas être promus ? Faut-il être obligé d’aimer les Fangs ? Faut-il être obligé de haïr les Fangs ? La réponse, dans tous les cas, est NON. Pourquoi aimer les Fangs ou les détester ? Aimer ou détester quelqu’un du fait de ses origines est une faute : ça s’appelle du racisme.

 

Où est-il écrit que le pouvoir politique au Gabon doit obligatoirement revenir à un Fang ? Pourquoi devrait-il en être ainsi ? A cause du nombre ?

En démocratie, on choisit les gouvernants en fonction de ce qu’ils peuvent faire, de ce qu’ils proposent à l’ensemble de la communauté nationale et non en fonction de la taille démographique du groupe d’origine. Prétendre le contraire, c’est s’enfermer dans le tribalisme le plus archaïque.

Que veulent les Gabonais ? Un chef, une élite qui assure le bien commun du peuple. Ils ne veulent pas d’un Fang, d’un Téké ou d’un Nzébi. Ils veulent d’un homme qui a une vision pour le pays, qui présente un projet qu’on accepte ou qu’on rejette. Point.

Sur ce point, est-il offensant de dire qu’en 2009, un seul candidat avait un projet de société construit ? La réalisation de ce projet est une autre histoire et les gabonais jugeront en 2016. Mais, si quelqu’un se souvient du projet de société d’André Mba Obame, de Zacharie Myboto ou de Jules Bourdès Ogouliguendé, qu’il nous l’apporte.

Dernière question : Au regard de la permanente revendication de certains Fangs on ne peut manquer de se demander que serait le Gabon si les Fangs avait pour foyer principal l’Ogooué-Maritime ? En effet, depuis 50 ans, c’est l’Ogooué-Maritime, par le pétrole, qui fait vivre tout le Gabon. Si le pétrole, l’uranium ou le manganèse se trouvait dans le G9 que dirait-on ?

Il est encore temps pour que tout le monde se reprenne. Que chacun saches raison garder. Que chacun soit, chaque jour, un peu plus Gabonais que la veille. Que chacun soit jugé, puni, promu pour ce qu’il fait et non pour ce qu’il est.

Il est temps pour les autres Gabonais de ne voir que des hommes, bon ou mauvais, en face d’eux et non des Fangs. Il est aussi temps que les Fangs se donnent à voir aux autres comme Gabonais, comme citoyen et tout simplement comme homme et non comme homme fang du Gabon. C’est la discipline à laquelle doivent s’attacher tous et chacun, d’où qu’il vienne ;

Chacun de nous vient de quelque part. Mais nul n’est obligé de porter en permanence son terroir en bandoulière.

Qu’un voleur soit d’abord un voleur et non un voleur fang ! Qu’un auteur soit d’abord un auteur et non un auteur fang. Qu’un footballeur soit d’abord un footballeur et non un footballeur fang.

A ce propos, est-on sûr de faire du bien à un jeune comme Pierre Emerick Aubameyang, en le cataloguant « footballeur fang » dans Jeune Afrique ?

 

Enfin, ce pays a déjà eu un Président Fang : Léon Mba. Le jour où un nouveau Léon Mba apparaitra, il sera Président de tous les Gabonais.

Mais tant que cette communauté ne suscitera que des piètres succédanés de Jean-Hilaire Aubame, on continuera à attendre le nouveau Léon Mba.

 

04/06/2012

GABON : SYLVIA BONGO ONDIMBA OFFRE DES FAUTEUILS AUX HANDICAPÉS.

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Dimanche 3 juin 2012, la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille a effectué une remise de 325 fauteuils électriques manuels et scooters aux personnes vivant avec un handicap moteur.

191 fauteuils supplémentaires seront distribues dans les prochaines semaines dans 10 villes différentes a l'intérieur du Gabon.

Cette action s’inscrit dans la continuité de l’engagement de la Première Dame en faveur des personnes fragilisées, l’un des trois domaines d’action prioritaires de sa Fondation.

Pour rappel, une première dotation avait été effectuée le 12 octobre 2010, au cours de laquelle la Première Dame avait interpelé la population et les autorités publiques sur les problématiques des personnes handicapées : « Aux handicapés, on demande plus d’effort, plus d’investissement, plus de courage. L’accès aux édifices publics ou aux transports en commun n’est pas adapté aux handicapés moteurs. Nos regards sont souvent fuyants et traduisent les discriminations dont ils font l’objet, notamment dans la recherche d’un emploi. Dans tous ces domaines, nous devons agir ensemble pour changer le regard de la société sur le handicap ».

La remise d’aujourd’hui s’inscrit dans cet esprit de solidarité et a mobilisé de nombreux bénéficiaires actifs sur les plans professionnel, académique et artistique.

Elle s’accompagne également d’une volonté de sensibilisation et de responsabilisation des bénéficiaires à travers l’organisation de formations visant à permettre une utilisation optimale et sécurisée de leurs fauteuils.

Les journées du 1er et du 2 juin étaient ainsi dédiées à des sessions de formation au code de la route afin de garantir non seulement leur propre sécurité mais aussi celle de leurs concitoyens. Les bénéficiaires ont échangé avec l’instructeur sur les différents aspects du code, après des séances de visionnement de vidéos qui mettaient en évidence les différentes erreurs de conduite que l’on observe sur nos routes au quotidien.

Par ailleurs, l’action de la Première Dame vise à modifier en profondeur la perception du handicap au Gabon afin qu’il ne soit jamais un obstacle pour aspirer à une vie meilleure. En effet, bon nombre de nos compatriotes handicapés souffrent du regard que la société porte sur eux et des limites qui s’imposent à eux, notamment en ce qui concerne leur transport.

Comme elle l’avait rappelé au cours de la grande journée handisport du 3 décembre 2011 : « Il ne faut plus que les personnes handicapées soient perçues comme des objets de charité. Ce sont des sujets avec des droits, des membres actifs de la société. (…) Le handicap, c'est une leçon de courage, de volonté, une leçon de vie. Devant les carences publiques, c'est vous qui incarnez la politique du handicap au Gabon. Je vous félicite pour vos actions et tiens à vous rappeler mon engagement le plus sincère à vos côtés. »

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Pour plus d’informations sur les activités de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille :

http://www.fondationsylviabongoondimba.org/

Contact : presse@fondationsbo.org

 

31/05/2012

MARC ONA ESSANGUI AGITATEUR GROTESQUE ET MENTEUR ÉHONTÉ SANS FOI NI LOI.

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Aujourd'hui toute la planète sait très bien que le Gabon est un pays viable. La paix règne sur l'ensemble du territoire, malgré les perturbations causées ici et là par des groupuscules sorciers sous la houlette de Marc Ona Essangui.

La population gabonaise vaque normalement à ces activités. Les étrangers affluent chaque jour, les uns pour investir, les autres pour découvrir les immenses opportunités que regorgent notre beau pays béni des dieux.

Ils sont émus par le niveau élevé de la résilience du peuple gabonais qui a pu se remettre en si peu de temps, au travail , sous l'impulsion de son nouveau Président Ali Bongo Ondimba , après toutes les tribulations qu'elle a vécue durant des décennies, une nation meurtrie par l'immobilisme et l'endormissement , mais qui en peu de temps, parvient à redorer son blason et rétablir son image et sa place au concert des nations.

Il n'y pas très longtemps, le Gabon était identifié de toute sorte de malheur. Aujourd'hui, les temps des roitelets étant donc révolus, l'émergence reste la préoccupation ultime de tout le peuple Gabonais et des réformes sont en cours dans tous les secteurs pour remettre le pays sur les rails.

La Communauté Internationale est plein d'admiration par les progrès déjà atteints par les Gabonais qui, contrairement à jadis, sont déterminés à entreprendre de grands projets de développement.

Le Gabon participe à la résolution des grands défis régionaux et internationaux. En témoigne l'immense succès de notre présidence du conseil de sécurité des nations unis et l'accueil chaleureux du Président Ali Bongo Ondimba par Barack Obama à la maison blanche .

Le Gabon contribue aussi dans les efforts de renforcement de la paix et la sécurité en Côte d'Ivoire, Tchad, Soudan, Centrafrique, Haïti. Le résultat est incontestablement extraordinaire .

Cependant, il apparaît encore clairement qu'il y a une petite portion de Gabonais jaloux et aigris , nourris d'ambitions sorcières , qui veulent détruire le Gabon .

La paix est pour beaucoup le capital le plus cher dont nous puissions disposer pour notre émergence. Mais elle n'avantage pas tout le monde. Il y en a encore qui veulent pêcher dans l'eau trouble.

Le manque de patriotisme a inhibé en eux certains sens, de sorte qu'ils ne peuvent rien voir des nombreuses initiatives entreprises par le peuple gabonais, sous la conduite de son nouveau Président Ali Bongo Ondimba, qui se construit des stades modernes, des villages modernes, des hôpitaux, des écoles, et qui est parvenu à se réconcilier avec une célérité inégalable.

Il y a tout à regretter dans le comportement de certains délinquants politiciens en cagoules, mais la tendance la plus stressante est surtout de voir des anciens roitelets, de la pseudo société civile alimentaire de Rio, devenir des agitateurs. Le cas particulier du nuisible Marc Ona Essangui en est révélateur ....

Les Gabonais qui se débattent contre la paix et la sécurité et dont la principale besogne est d'entraver l'émergence de notre pays ne sont autres que les anciens ténors des pseudos sociétés civiles antidémocratiques que le Gabon a connus depuis l'indépendance.

Parmi les pires agitateurs qu'on a aujourd'hui au Gabon figurent Marc ONA ESSANGUI , Paulette OYANE ONDO , Georges MPAGA , Dieudonné Minlama , Alain MOUPOPA et Bruno ONDO , qui se disaient hier porter les étendards de la démocratie.

Ce sont des individus à qui le pays a tout donné ( ils sont tous des milliardaires  aujourd'hui ) mais qui veulent sa destruction. Ils ne sont pas le genre de personnes qui ne savent pas la valeur de la paix dans un pays qui se relève de longues années de troubles sociopolitiques qui ont quelque peu mis à mal le pays.

Ils peuvent avoir une courte mémoire, mais on ne peut pas se laisser convaincre qu'il soit encore temps pour des anciens seigneurs d'oublier le prix que le pays a donné pour recouvrer la paix et la sécurité.

Seulement, il n'est pas facile de mesurer ce que certains, particulièrement Marc ONA ESSANGUI , Paulette OYANE ONDO , Georges MPAGA , Dieudonné Minlama , Alain MOUPOPA et Bruno ONDO , ont perdu par rapport à ce qu'ils ont récolté à travers toute une décennie de désordre. Et ils voudraient qu'on y retourne.

C'est une source d'argent par excellence pour des égoïstes politiciens en cagoules.

C'est la raison pour laquelle ils ne chantent que le KO dans un pays paisible. La somalisation du Gabon est leur objectif commun.

Que le délinquant notoire , Marc Ona Essangui :

- se permette de pondre des écrits aussi grossiers et insolents à l'endroit des institutions d'une République ;

- qui veut la mort de toute la population jusqu'à celui de son propre village natale où vivent parents, amis et voisins ;

- qui sème la zizanie au sein de la population ;
- qui prône la violence, la haine, le banditisme, la guerre et qui exploite les pleurs de ces compatriotes pour satisfaire des intérêts politiciens;

constitue au final une honte pour nous tous.

Depuis la période pré-électorale, la politique de l'opposition alimentaire de Rio et de leurs suppôts en cagoule avec à leur tête Marc Ona Essangui , s'est reposée sur le mensonge avec comme objectif principal de diviser les gabonais.

Ils ont inventé des pires histoires farfelues et ubuesques , Ils ont rapporté des trafiques imaginaires , des corruptions fantaisistes contre des militants et leaders de l'opposition , tout un arsenal nauséabond ...

Ils ont brillé par leur ingéniosité dans le mensonge. Ils sont actuellement dans une lutte acharnée contre tout ce qui dérive du pouvoir en usant des moyens les plus malhonnêtes, des déclarations et des lettres ouvertes d'autant plus déplacées que ridicules.

C'est le propre des politiciens désespérés qui font tout même l'interdit pour s'accaparer du pouvoir.

Des anciens roitelets comme Marc Ona Essangui qui prend le luxe de composer des écrits enfantins et des affabulations identiques à ceux de n'importe quel délinquant de la ville et qui emboîtent le pas à certains extrémistes qui animent des sites et des blogs clandestins pour véhiculer des messages de la haine.

Il est compréhensible que l'effondrement politique de ces anciens ténors après leur éviction du pouvoir dans les élections de 2009, et la dissolution de leur gang a été un véritable châtiment, mais il est déshonorant qu'ils se livrent à cette culture du mensonge.

Un homme qui ne peut pas protéger son honneur pendant les moments difficiles comme ceux d'après une compétition démocratique perdue n'en est pas un.

Si Marc Ona Essangui et ses acolytes étaient assez curieux, ils devraient avoir déjà compris que ce n'est pas le nombre de déclarations mensongères et incendiaires, de lettres ouvertes insolents, qui ramèneront au pouvoir des politiciens égoïstes, éhontés et en perte de vitesse.


MICHEL OGANDAGA  https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA


29/05/2012

GABON : S.E ALI BONGO ONDIMBA - SAMUEL ETO'O - JOUEURS FC BARCELONE

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Libreville, le 28 Mai 2012 - Fidèle à sa promesse de redonner au football toutes ses lettres de noblesses au Gabon, le Chef de l’Etat, Son Excellence Ali Bongo Ondimba a procédé, ce jour, à l’inauguration de la Fondation Samuel Eto’o Gabon, en présence de plusieurs grandes pointures du football barcelonais.

 

C’est le quartier Nzeng Ayong qui abrite les deux complexes dédiés à la fondation Samuel Eto’o, à savoir la résidence, qui servira de logis aux jeunes talents et le stade d’entraînement où ils pourront acquérir leur formation pratique.

 

A travers une cérémonie fort simple, réunissant le Chef de l’Etat, Son Excellence Ali Bongo Ondimba, et de hautes personnalités de la République, Samuel Eto’o a dévoilé ses ambitions pour la jeunesse Africaine en général et Gabonaise en particulier. Des ambitions qui entrent en phase avec la vision du Président de la République, qui n’a pas hésité à apporter son soutien et sa caution à cette initiative.

 

La phase de détection, actuellement en cours permettra de repérer les jeunes talents, qui seront ensuite formés et orientés convenablement. Cette détection tient à un ensemble de critères tels que l’anthropométrie (taille, envergure, poids…), le mental (Ambition, concentration…), la Techno-motricité (coordination, geste…), la condition physique (détente, vitesse, endurance…), et les aspects sociaux (soutien des parents, scolarité…)

 

Après cette cérémonie, le cap a été mis sur le stade d’entraînement de Nzeng Ayong, où les joueurs présents ont pu échanger quelques passes de balle avec les jeunes joueurs, leur prodiguant des conseils techniques et tactiques.

 

Mu par la volonté de faire du sport un véritable levier de développement, et après la brillante participation du GABON à la CAN 2012, le Président Ali Bongo Ondimba a pris l’engagement de sortir le football de sa léthargie actuelle de sorte à offrir de meilleures perspectives à cette discipline dans notre pays. Au nombre des nombreuses concertations menées dans ce sens, le Président de la République a récemment reçu en audience une délégation de la Ligue Nationale de Football (LINAF). Des échanges qui portaient essentiellement sur le projet de la professionnalisation du Championnat National de Football.

 

Aujourd’hui, l’inauguration de la Fondation Samuel Eto’o Gabon constitue une étape importante dans ce sens qu’elle crée un cadre de professionnalisation à la base dans cette discipline qui apparait comme le premier jeu d’intelligence collective, et le sport d’équipe le plus pratiqué du monde, avec 25 millions de joueurs.

 

FIN

 

La politique du Gabon Emergent

 

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

1-  Le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

2- Le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

3- Le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

 

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Pour plus d’information, merci de visiter http://www.presidentalibongo.com/, www.gabon-nature.com ou contacter www.cocom.rggov.org

 

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25/05/2012

FAUSSE AFFAIRE GABRIEL TCHANGO : LES MENSONGES DU POLITICIEN MOUTOUKI MARC ONA ESSANGUI

                                 

Sacré Ona Essangui ! Dès que notre célébrissime Prix Goldman entend une petite rumeur sur un pédézozo, il entre aussitôt en transe. Et il a suffi dernièrement que sa potesse, Lydie Oranga, vienne lui raconter que le ministre Gabriel Tchango est en train de leur voler les maisons, pour que le « Grand de ce monde » y voit une vérité biblique et décide de traîner le ministre dans la boue.

Pour ce faire, Marc envoie rapidement son factotum Georges Mpaga balancer dans « Echos du Nord » ce qui va devenir un grand scoop. Une fois l’affaire devenue publique, Marc pouvait tranquillement rentrer dans la danse à travers ce communiqué de presse particulièrement violent : « Gabriel TCHANGO, Ministre Gabonais des eaux et forêts et homme d’affaire, vient une fois de plus de s’illustrer dans l’accaparement frauduleux des biens appartenant à la famille ORANGA. Ce mercredi 17 mai 2012, Gabriel TCHANGO a fait débarquer un contingent de 42 policiers sous les ordres de madame Oberdeno Eliane, Huissier de justice connue des milieux judiciaires de Libreville, qui ont procédé à l’expulsion manu militari des propriétaires de leur domicile en commettant par la même occasion des violations des droits de l’Homme chez ces derniers. Madame ORANGA Rosine, épouse de Monsieur ORANGA EGUEYI Claude René âgée de 71 ans a été humiliée par des jeunes policiers zélés. Ce comportement ignoble orchestré par Gabriel TCHANGO est la parfaite illustration du régime de l’arbitraire installé au Gabon depuis 2009, composé de prédateurs qui font usage de la force pour imposer leur domination sur une population complètement assujettie et dépossédée de sa citoyenneté. Nous rappelons à l’opinion publique nationale et internationale que cet acharnement de Gabriel TCHANGO à piller les biens immobiliers de la famille ORANGA débute en 2007. Pendant que le propriétaire de ce patrimoine et chef de famille, Monsieur ORANGA EGUEYI Claude René, purgeait une peine de prison à la maison d’arrêt de Port-Gentil, son fils cadet et de moralité douteuse le nommé Claude Edmé ORANGA, a volé le cachet de son père sur lequel était en outre incorporé sa signature pour y effectuer des opérations illégales de vente en faveur de Gabriel TCHANGO sur la base de faux documents fabriqués de toutes pièces par Claude Edmé ORANGA, manifestement sous l’emprise des millions de Francs CFA provenant de son acolyte Gabriel TCHANGO dont l’obsession de dépouiller la famille ORANGA de ses investissements, le rendait inconscient et aveugle au point d’ignorer les principes et les précautions élémentaires en pareille circonstance. Devant cette situation inacceptable, le Mouvement « ça suffit comme ça » considère Gabriel TCHANGO comme un recéleur, un hors la loi coupable d’actes frauduleux, de complicité de faux et usage de faux. Les titres fonciers qu’il fait prévaloir résultèrent de faux documents notamment des faux actes de vente qui ne sont pas l’émanation des propriétaires légaux à savoir Monsieur et madame ORANGA mariés sous un régime de communauté de biens de puis plus 50 ans. Compte tenu de ce qui précède, notre Mouvement est totalement solidaire de la famille ORANGA face à Gabriel TCHANGO, qui n’a pas sa place dans un Gouvernement de la République digne de ce nom de notre point de vue qui doit être composé de personnes intègres et irréprochables. Mouvement Ca suffit comme ça exige donc dans les plus brefs délais, la démission de Gabriel TCHANGO du Gouvernement pour mieux se mettre à la disposition de la justice de notre pays pour abus d’autorité, trafic d’influence et la restitution des biens volés à la famille ORANGA. Faute de quoi, nous entreprendrons des actions citoyennes d’envergure à Libreville et judiciaires dans les tribunaux à compétence universelle à l’encontre du Ministre. Fait à Libreville, le 21 mai 2012 ».

Au-delà de ce recueil, de ces prouesses grammaticales et de surpassements injurieux, il y a malheureusement la réalité des faits. Et cette réalité indique que c’est le 24 mars 2003, que sieur Claude René Edmé Oranga, fils de Claude René du même nom, se fait délivrer cette procuration :

L’objet est très clair : la vente des villas de son père. Ainsi que le veut la procédure, le tribunal de Port-Gentil va alors procéder à l’authentification de la procuration et décide, un an plus tard, de délivrer cette ordonnance sur requête :

Document qui va lui permettre de conclure définitivement la vente de la villa. Sauf que lorsque, quelques mois plus tard, le nouveau propriétaire Gabriel Tchango décide de démarrer les travaux, il trouve la villa occupée par un squatter répondant au nom de Lucien Tchango. C’est le propre frère de René Claude Edmé. Lucien conteste la transaction et jure de ne pas quitter les lieux. Le nouveau propriétaire saisit alors les tribunaux et le 15 juillet 2008, cette décision est rendue :

Après cette expulsion menée sans bruit, Gabriel Tchango et Claude René Edmé concluent une autre vente de maison. Celle-ci se déroule à Libreville, au quartier Glass où Claude René est propriétaire d’une baraque. La même procédure est engagée par voie notariale jusqu’à la conclusion, sans aucun problème, de cette transaction.

Mais au moment où Gabriel Tchango s’engage à lancer les travaux de réhabilitation, il trouve curieusement sur les lieux une certaine Lydie Oranga, soeur Claude René Edmé. La Lydie campe sur ses positions. C’est qu’elle a un argument en béton qu’elle exhibe de to go : une procuration de gestion des biens qui lui a été délivrée par le même papa.

Pour tirer cet imbroglio au clair, un huissier de justice, sur réquisition du Procureur de la République, sera envoyé à la prison centrale pour procéder à l’audition de l’émetteur des deux procurations. Voici ce que Claude René Oranga a confié à l’huissier :

A partir de là, la procédure judiciaire est aussitôt engagée et le 30 juillet 2010, ce jugement tombait comme un couperet :

Malgré la clarté de ce jugement, rien ne bouge sur le terrain où d’ailleurs la condamnée a fait appel. Manque de pot, le 23 février dernier, la cour d’appel venait confirmer le jugement de première instance :

Et c’est l’exécution, par l’expulsion des squatters, de ce jugement qui a soulevé l’ire de Marc Ona. Lequel Ona n’a pas hésité à édulcorer les faits, par le mensonge ; à insulter Gabriel Tchango, par pure haine et stricte impolitesse.

La voilà, notre fameuse Société civile. Celle de Marc Ona Essangui, de Paulette Oyane Onde et de Georges Mpaga. Une Société civile qui a horreur de la vérité et préfère servir « honteusement et petitement » le mensonge.

Attendons voir si elle aura la simple dignité de s’amender.

Source : LA GRIFFE du vendredi 25 mai 2012

MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

Gabon: BIENVENUE CHEZ LES " FANGS " DU NORD

Comme experts et « célèbres » Fangs du Gabon, « Jeune Afrique » (n° 2680 du 20 mai 2012) n’en a trouvé que dans le Woleu-Ntem pour réaliser son grand dossier sur le pays Fang. Un dossier qui, finalement, n’a fait que révéler la pensée profonde d’AMO sur son peuple : les seuls Fangs, vrais et authentiques, sont ceux du Woleu-Ntem.

Dans son dernier scoop sur le Gabon, l’ex « intelligent », « Jeune Afrique » a eu l’extrême « intelligence » et la délicate « indépendance » de consacrer sa Une au royaume des « Fangs ». Avec la perspicacité qui le caractérise, l’empereur Ben Yahmed circonscrit ce royaume des « Fangs » à la Guinée-Equatoriale, au Cameroun et, naturellement, au Gabon.

Presque du « Tintin au Congo » quand on sait qu’il y a aussi les « Fangs » au pays de Sassou, à Soa-Tomé et Principe. Mais ce sont des détails qu’on ne peut pas maîtriser lorsqu’on trace des frontières depuis un bureau parisien et sous la dictée d’un grabataire venu d’Azanie.

Mais il est clair que l’objectif n’était pas de donner au lecteur une information scientifiquement juste et précise sur les Fangs. Pour l’inoxydable Ben Yahmed, il fallait tout juste donner un coup de main à son vieux pote AMO et étancher un règlement de compte financier.

Pour le reste, l’objectif était de démontrer qu’au Gabon, les seuls « Fangs » qui sont « célèbres », « intelligents » comme le fut « Jeune Afrique », beaux et intellectuels, sont uniquement du Woleu-Ntem.

A preuve, comme « intellectuels » qui avaient le bagage de confier, en tant qu’experts, leur avis au reporter de « Jeune Afrique », on note : Firmin Nguema Obame, « chef d’une entreprise » inconnue du Registre commercial du Gabon ; Jean-Christophe Owono Nguema, un ancien postier.

Comme experts, il est évident que Ben Yahmed ne pouvait trouver mieux parmi les « Fangs » de l’Estuaire, de l’Ogooué-Ivindo, du Moyen-Ogooué ou de l’Ogooué-Maritime. En dehors des savants éclairages de ces deux experts, « Jeune Afrique » a pensé aussi à présenter ceux qu’il pense être les « Fangs célèbres ». Au Gabon, la liste est exhaustive : Pierre-Emerick Aubameyang, Marc Ona Essangui et André Mba Obame.

Il n’y a pas un seul Fang de l’Estuaire, du Moyen-Ogooué et de l’Ogooué-Ivindo célèbre. Qui trouver ailleurs ?

Casimir Oyé Mba, premier gouverneur de la BEAC et pourtant membre de l’opposition ? Non ! Il est de l’Estuaire, pas du Woleu- Ntem. C’est donc un illustre inconnu.

Hilarion Nguema, seul Gabonais à avoir reçu le Marakach d’Or avec son titre « Sida » classé document scientifique par l’OMS ? Non plus ! Il est de l’Estuaire pas du Woleu Ntem. Ce n’est donc qu’un niais qui ne saurait faire partie des célébrités du pays Fang.

Monseigneur Jean-Pierre Ellelaghe Nzé, principal bâtisseur du projet académique de l’Université catholique de Yaoundé et réalisateur du Grand Séminaire Saint Augustin de Libreville ? N’en parlez pas ! Il est du Moyen-Ogooué et non du Woleu-Ntem. Il est par conséquent juste et bon qu’il soit classé personnage insignifiant.

L’Abbé Noël Ngwa Nguema, seul journaliste Gabonais à avoir obtenu, avec notre confrère « Misamu », un prix international ? Bouclez-là ! Il est du Moyen- Ogooué et non du Woleu Ntem. Il ne vaut donc rien du tout.

Et que dire de Jacques Edane Nkwélé, le premier ingénieur en télécom du Gabon ? Dégagez ! Il est de l’Ogooué Ivindo et non du Woleu-Ntem. Il n’est donc pas question qu’il soit considéré comme un vrai Fang.

En réalité, la mécanique intellectuelle du commanditaire de cet article, qui n’est autre qu’André Mba Obame, a tellement transpiré dans cette affaire qu’elle a fini par libérer ce côté nauséeux qui fonde son action politique : le tribalisme le plus primaire.

Celui qui prend pour essence idéologique la province et guide sa démarche par la haine et la chosification de l’autre. Cet autre qui est présenté comme étant un sous-homme. Et dans l’entendement de tous ceux qui partagent, avec Mba Obame et Marc Ona, cette idéologie néonazie, le sous-homme, au Gabon, c’est l’étranger ou le Bilop.

Mba Obame et Marc Ona ne cessent d’ailleurs de distiller ce venin qui proclame qu’en dehors du Woleu-Ntem, il n’y a pas d’autres « Fangs ». Il n’y a que les Bilops.

Dans l’Estuaire, toute l’intonation péjorative et abaissante qu’ils affublent au distinctif « mekê-me-nkoma », traduit parfaitement l’assimilation qu’ils font de ces « Fangs » aux Bilops. De même, pour eux, c’est-à dire pour Mba Obame et ses adeptes, dans le Moyen-Ogooué, il n’y a guère de Fangs. Là-bas, ce sont les Bilops.

Itou pour l’Ogooué-Ivindo où, avec une condescendance inqualifiable, les Fangs de cette contrée sont carrément appelés les Bakotas. C’est dire toute l’in-considération qu’ils vouent aux Kotas.

Mba Obame et Marc Ona sont des puristes qui ne rêvent que d’épuration. Les seuls Fangs sont les Fangs du Woleu-Ntem. Les seuls Gabonais sont les Fangs du Woleu-Ntem. Le Gabon doit donc être dirigé par ses purs enfants.

Ce qui, pour eux, n’est pas le cas puisque le pays, comme ils le chantent si bien, est entre les mains des Bilops et des « étrangers du Palais ». Il faut donc que la donne change. Porter cette revendication sur la place internationale à travers « Jeune Afrique » était indispensable quand on sait ce qui vient de se passer dans le Nord du Mali. Message reçu 5/5.

 

Source : LA GRIFFE vendredi 25 mai 2012 [wpsr_socialbts]

Qui se cache derrière "gabon libre"et "le gabon énervant" pour vociférer des insanités sur le Gabon ?

                              

Faut-il vraiment s’attarder sur ce que certains sites écrivent sur le Gabon et sur certaines autorités de la République ?

D’une part, non car il est clair que leurs écrits ne nous avancent en rien. Il est d’autre part intéressant de savoir qui se cachent derrière ces écrits incendiaires qu’ils n’osent même pas signer , et quel serait leur objectif ultime ?

Quand on lit certains articles de ces sites nauséabonds, on se rend à l’évidence que ce que ces gens cherchent n’est autre chose qu’entacher les institutions du pays.

C’est tellement flagrant que ça ne demande pas une minute pour découvrir qui se cache derrière cette haine venimeuse contre le président Ali Bongo Ondimba .

Ce sont les sympathisants de l’exUN qui continuent à insulter tout ce qui sent l’émergence pour rendre populaire leur chef qu’ils auraient voulu voir à la place de ya Ali. C’est en quelque sorte un règlement de compte sans nom qui anime ces gens dévoués à une cause sans issue.

Certains ont été déjà localisés dans le pays de l’Oncle Sam devenu une place où tous ceux qui veulent salir le Gabon se rencontrent. Ce qui est sidérant est que ces gens ne disent rien de positif sur le Gabon comme si là où ils vont vomir toute leur haine contre les institutions était un paradis.

Le salut du Gabon ne viendra pas de l’extérieur mais des Gabonais eux-mêmes et tant que les uns s’évertueront à détruire tout ce que les autres édifient, on peut facilement envisager de longues années de souffrance encore.

La cause de cette haine de transparence est donc une vengeance pure et simple mais qui malheureusement éclabousse toute la nation.

Des montages grossiers, des insultes et autres bassesses sont publiés sur les fameux sites juste pour se décharger de la colère et de la haine que Mba Obame André , Zacharie Myboto et ses alliés ont contre les institutions qu’ils auraient voulues sous leur coupe.

C’est plutôt honteux pour ces sites qui n’hésitent plus à manipuler les photos du Président de la République juste pour le salir. Comment un Gabonais digne de ce nom peut se réjouir du fait que le pays ait raté une opportunité quelconque par exemple ?

Bien que tous ce que ces sites distillent soient totalement faux, leurs écrits montrent bien que ces Gabonais préfèrent voir le Gabon brûler que le voir progresser.

Voilà des gens qui se targuent de lutter pour le bien-être des Gabonais au moment ils ne cherchent qu’à détruire tout ce qui est en train d’être édifié au Gabon. Ce qui est une évidence, le mal n’a jamais triomphé sur le bien.

C’est en fait dire que ceux qui souhaitent la paix et la prospérité du pays sont plus nombreux que les pyromanes.

Les marchands d’illusions devraient se rendre à cette réalité et arrêter leur sale besogne.

Le jeu démocratique ne se fait pas de cette façon et la population Gabonaise se moque éperdument de tels comportements qui n’honorent ni le pays qui vu a naître ces ingrats, ni leurs auteurs.  


MICHEL OGANDAGA https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA

24/05/2012

COMMUNIQUÉ FINALE DU CONSEIL DES MINISTRES DU 23 MAI 2012

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A l'entame des travaux, le Conseil des Ministres a salué la croisade inlassablement menée par le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, pour la promotion de la stratégie opérationnelle du Gabon Emergent à travers les continents ; croisade qui l'a conduit pour cette fois en Grande Bretagne et en Irlande du Nord.

En effet, à l'invitation des plus hautes autorités, le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA vient d'effectuer une visite de travail à Londres en Grande Bretagne.

Cette visite de travail avec le Premier Ministre Britannique, très remarquée et très commentée par les faiseurs d'opinion, s'est articulée principalement comme suit :

A Chaton House, centre de réflexion le plus prestigieux sur les questions internationales, le Chef de l'Etat a décliné sa vision de développement pour le Gabon à travers les axes suivants :

- mise en œuvre d'un ambitieux programme des réformes visant à diversifier l'économie, à accroître la compétitivité des secteurs industriels et des services tout en préservant les immenses richesses environnementales ;

- détermination à réduire la dépendance de notre pays vis-à-vis des ressources pétrolières ;

- refonte de la législation environnementale pour la mise en place d'un nouveau code de développement durable ;

- avènement prochain d'une bourse de crédits durables. Cette bourse permettra d'échanger des crédits, de développement durable générés par les projets répondant aux standards environnementaux définis par le code de développement durable.


Le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a, par la suite, eu une séance de travail avec le Premier Ministre de l'Irlande du Nord au cours de laquelle le Premier Ministre de l'Irlande du Nord a souligné d'une part, le rôle essentiel que le Gabon a joué dans la promotion de la paix durant son mandat au Conseil de Sécurité, et d'autre part, a souhaité consulter le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA sur les questions de paix et de sécurité en Afrique.

Le Premier Ministre et le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA se sont engagés à renforcer les relations économiques en mettant en relief les opportunités d'affaires qu'offrent nos deux (2) pays.

Enfin, la visite très suivie du Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA s'est achevée par la Conférence donnée à London Business School, à l'occasion de la Journée de l'Afrique, sur la place de l'Afrique dans le monde et les ambitions du Gabon pour un développement plus respectueux de l'environnement.


EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE


MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L'INTEGRATION REGIONALE


Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l'a approuvé, le programme des manifestations commémorant la 49ème Journée de l'Afrique, qui sera célébrée, du 24 au 26 Mai 2012, à Libreville.

A cet effet, les activités prévues se déclinent ainsi qu'il suit :

un jeu concours inter établissements (questionnaire portant sur l'Union Africaine) ;
une allocution télévisée du message du Ministre des Affaires Etrangères ;
une conférence-débat portant sur le thème de la Journée : « Stimuler le commerce intra-africain » ;
une rencontre de football opposant le Corps Diplomatique à l'équipe du Ministère des Affaires Etrangères ;
un dîner-gala.

MINISTERE DE L'INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L'IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

Le Conseil des Ministres a marqué son accord au Ministre pour l'organisation de la 2ème Consultation Régionale sur les inondations et autres catastrophes naturelles en Afrique Centrale, du 11 au 13 Juin 2012, à Libreville.

MINISTERE DE L'ECONOMIE, DE L'EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

Le Ministre a sollicité et obtenu l'accord du Conseil des Ministres, pour l'organisation, du 29 au 30 Mai 2012, à Libreville, d'un Atelier National de Validation de la Stratégie Nationale de Développement Durable.


Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l'étranger des membres du Gouvernement.

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.


Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :



PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

CABINET DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

- Conseiller du Président de la République : M. Ghislain ONDIAS OKOUMA.
- Chargé de Missions du Président de la République : M. Tanguy GAHOUMA BEKALE.

CONSEIL NATIONAL DE SECURITE

SECRETARIAT GENERAL


- Directeur de Cabinet : M. MAGANGA Pierre.

- Secrétaire de Particulière : Adjudant Chef ANDJOUOMO NDJIABI Florence.

- Conseillers : MM.
• DOUTEY Henri Sébastien ;
• GROS JEAN Louis.

- Directeur des Affaires Stratégiques et Internationales : M. NDOUTOUME OBAME Jean Luc.

- Directeur des Affaires Administratives, Financières et du Personnel : M. MBOUGAYO Clément.

CONSEIL PERMANENT DE LA FRANCOPHONIE

- Représentant Personnel du Président de la République Gabonaise au Conseil Permanent de la Francophonie : Pr Guillaume PAMBOU TCHIVOUNDA.


PRIMATURE


CABINET DU MINISTRE DELEGUE AUPRES DU PREMIER MINISTRE, CHARGE DE LA REFORME DE L'ETAT

- Directeur de Cabinet : M. Arcade MOUENDOU, Administrateur Civil en Chef, diplômé de l'ENA.

- Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Joséphine MIPOTI, Assistante de Direction.

- Chef de Cabinet: M. Williams Wilfrid MIHINDOU-MI-NZAMBA.

- Secrétaire de Cabinet: Mme Célia AKANDA, diplômée en Bureautique.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Agnès ATORA, diplômée en Gestion Informatique.

- Chargés de Missions :
MM.
• Alain Félix BEKALE ;
• Désiré ONKOUNI.
• Mme Madeleine MBANGA MAGNAHO épouse NZENGUE.

- Chauffeur Particulier du Ministre : M. Mathieu NGUEMA.


MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT


SECURITE PENITENTIAIRE

- Commandant en Chef : Général de Brigade NZOUBA NGONDI Sébastien, précédemment Directeur de Recrutement et de la Formation en remplacement du Général de Corps d'Armée NKENZE Edwige.


MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L'INTEGRATION REGIONALE



CABINET DU MINISTRE DELEGUE

- Directeur de Cabinet : M. LOUNDOU Antoine.

- Chef de Cabinet : M. IBALA Olivier.

- Secrétaire de Particulière du Ministre Délégué : Mme BIACEL Arielle Nany, épouse MWAMBI.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme DAMAS SAPE Carole Léonie.

- Chargés d'Etudes :Mmes
• BANAVE Claudia ;
• OWANGA ESSONGUE Prisque Euphrasie ;
MM.
• ANGO Stéphane Sandy ;
• MACKAO Michel ;
• MOUELE Félix.

- Secrétaire de Cabinet : Adjudant KIENE Brigitte.

- Chef du Protocole : M. MAVOUNGOU TAMBA Guy Roger.

- Attaché de Presse : M. OYONO Yves Saint.

- Aide de Camp : Maréchal des Logis Chef MIHINDOU Pierre.

- Agents de Sécurité :
Les Maréchaux des Logis Chef
• NKOUROU Steeve ;
• EBONGHE Raoul.

- Chargés de Missions :
• Mme ASSIBOU Christiane ;
MM.
• NZENGUI BOUDIANDZA Urbain ;
• MADOUNGOU MOUELE Louis Aimé ;
• YAMAMAH Georges.

- Chauffeur Particulier : Breveté de Carrière MOUTSELIKI François.


MINISTERE DE LA SANTE

CABINET DU MINISTRE

- Directeur de Cabinet : M. Fidèle BOUKA.

- Chef de Cabinet : M. Jean Lambert NDOMBY.

- Secrétaire Particulière du Ministre : Mlle Edith Sylvie MANGA MANGUIYA.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mlle Nicole P. GUEGOU.

- Secrétaires de Cabinet :
Mmes
• Margueritte WAKA MBEMBO ;
• Virginie MASSINGO GUEGOMA.

- Aide de Camp : Maréchal de Logis Chef Anselme Richard MASSALA.

- Agents de Sécurité :
• Adjudant Jean Basile DITENGOU ;
• Sergent Chef Roger NGOMA.

- Chauffeur Particulier du Ministre : M. Stéphane DIKEGUE.

- Chef du Protocole : M. Christian Josselin MOSSALA DIPAGA.

- Agent du Protocole : M. Jean Jacques KITSA.

- Attaché de Presse : M. Richard MOUBIWA.

- Chargés de Missions :
MM.
• MBEMBO Georges ;
• SERRE-MANGOUNGOU Augustin ;
• Jean Louis LOUNDOU ;
• Mme BIGNOUMBA Honorine.

- CONSEILLERS :

- Conseiller Chargé des Programmes de Santé et d'Hygiène Publique : Dr Médard TOUNG MVE.

- Conseiller Chargé des Questions Pharmaceutiques et de Laboratoires : Dr Marie Yvonne ELLA ASSA.

- Conseiller Chargée de la Reproduction et de la Promotion de la Santé Maternelle et Infantile : Dr Julienne PACKOU.

- Conseiller Chargé de la Qualité des Soins et des Questions Médicales : Dr Eric Augustin BAYE.

- Conseiller Diplomatique : Mme Denis Landia NDEMBI NZIENGUI.

- Conseiller Chargé des Reformes Institutionnelles, de la Formation et des Ressources Humaines : M. Luc NGABA.

- Conseiller en Communication : Mme Marie José NDOMBI, Professeur en Sciences Médicales.

- Conseiller Juridique : M. Guy Roger NZAMBA, Juriste.

- Conseiller Chargé de l'Education à la Santé et des Relations avec les Partenaires Sociaux : M. Didier PENDJE.

- Chargés d'Etudes :
• Mme Claudine BINDJIMA, Administrateur de Santé ;
MM.
• Jacob TCHINGA, Aménagiste ;
• Paul Anicet MOUGNIENDA, Attaché d'Administration Economique et Financier ;
• Henri OLOLO, Administrateur de Santé.


CABINET DU MINISTRE DELEGUE

- Directeur de Cabinet : M. Anicet Armand NGOULOU BILEBA.

- Chef de Cabinet : M. Aubin LOBO.

- Secrétaire Particulière du Ministre : Mlle Grâce BILKIS KELIET NGOUANGA.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Léa LOEMBA.

- Aide de Camp : Sous-officier Epiphanie Zita BAKOUNOU.

- Attaché de Presse : M. MANEMBE MOUKOUMBI.

- Chargés de Missions :
MM.
• Alain Grégoire OKOUYI ;
• Jean TSOUNGA NDOUNGOU ;
• Aubin Janvier MABECKA ;
• Fernand MOUKETA.

- Chargés d'Etudes :
Mmes
• Elvire Pierrette MENDOME épouse MOUTETE ;
• Mireille NTSAME OBAME épouse NKOA ;
• Vanessa Tiphanie MATSALA NEMBE.


MINISTERE DE L'AGRICULTURE, DE L'ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL


CABINET DU MINISTRE

- Directeur de Cabinet :
M. EKO NDONG Julien.

- Chef de Cabinet : M. NTOUTOUME ONGONE Sylvère.

- CONSEILLERS :

- Politique : M. OBIANG NGUEMA Roger.

- Chargé des Relations Publiques : M. OBAME Marc Honorat.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme MATONGO Elisabeth épouse MAKOSSO.


- SECRETAIRES DE CABINET :
• Mmes POPODO Marguerite,
• OYANE MINKO Josiane.

- Chef du Protocole : M. NGOMA NGOMA Yves.

- Attaché de Presse : M. BIE ESSONE Dieudonné.

- Aide de Camp : Maréchal de Logis Chef AKIRINGO Dimitri Gildas.

- Agent de Sécurité : Maréchal de Logis AVA NZOGHE Michel.

- Chauffeur Particulier du Ministre : M. NGOUONI Jean-Jacques.

- Agent du Protocole : M. KITSA Jean-Jacques.

- CHARGES DE MISSIONS :
• MM ABOGHE EYA Jean-Jacques,
• CHAKOULA Didier,
Mesdames :
• MOUGOULA Jeannette
• ASSENGONE Amélie.

- CONSEILLERS

• Chargé de l'Agriculture et de l'Elevage : M. ONGONE OBAME Aristide, Ingénieur Agronome.

• Chargé de la Pêche et de l'Aquaculture : M. TCHIVOUNDA Blaise, Géographe, spécialiste du suivi Evaluation des Projets Pêche.

• Chargé du Développement Rural et des Aménagements des terres Agricoles : M. MOMBO Jean-René, Ingénieur Agronome.

• Chargé de la Promotion des Coopératives Agricoles et de l'Organisation des Agricultures : M. BOTSIE ZOYABE Lazare, DEA Psychologie sociale, DESS Gestion d'Entreprise.

- Conseiller Diplomatique : M. MIKOUNGUI Anatole, Conseiller des Affaires Etrangères.

- Conseiller Juridique : M. ASSOUMOU NDONG Cyriaque, Administrateur Civil.

- Conseiller chargé de la Communication : M. MBEANG MBA Guy Martial, Journaliste.

- CHARGES D'ETUDES :
• Mme EWOMBA Jocktane épouse MOUSSAVOU ;
MM. :
- CAPITO OGOULAWIRI Eugène Francis,
• RONOUBIGOUWA AMBOUROUET AVARO Michael,
• MOMBO MOMBO Aymar,
• EMANE Yves Armand,
• BOUCKA TCHINGA.

COMITE NATIONAL DU CODEX ALIMENTARIUS

- Secrétaire Permanent : Mme MEZOUE Blanche Emilienne épouse OBAME ENENGBE, Ingénieur Agro-alimentaire, précédemment chargée d'Etudes du Ministre.

COMMISSION NATIONALE FAO


- Secrétaire Général Permanent : Mme MOUGENGUI Yolande Marcelle, Ingénieur Zootechnicien, Master en Management du Secteur Public.


MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L'HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE


CABINET DU MINISTRE DELEGUE CHARGE DES TRANSPORTS.

- Directeur de Cabinet : M. MBA NZE Alain.

- Chef de Cabinet : M. MFOUME Jean-Prince.

- Secrétaire Particulière du Ministre : Mme MAKAYAT MBOUMBA née BINIANI Odile.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme MAHOUIRI DOUMAMBILA Sylvie Perrine.

- Secrétaire de Cabinet : Mme ERANGA IMOUNGA Nathaly.

- CHARGES D'ETUDES :
Mmes
• NGWEMPAZA NKOROUNA Sylvie,
• Mme NSEH NZET Mireille épouse MENVI,
MM.
• IKOGHOU Frédéric,
• MOUPOUNGUIDI Judicaël.

- Attaché de Presse : Mme KANGA Kenny Dalglish.

- Agent du Protocole : Maître SIMONO Hervé.

- Agent de Sécurité 1: Brigadier MBOUMBA Serge Alain.

- Agent de Sécurité 2 : Brigadier EPEME Romuald.

- Chauffeur Particulier : M. TSOUMOU Herman Habib.

- CHARGES DE MISSIONS :
• Mme N'SOUAMI Martine Grâce,
MM.
• WAGHA NANG Auguste,
• ESSINGONE Edgard,
• MINKO MENGA Michel.


MINISTERE DE L'ECONOMIE NUMERIQUE, DE LA COMMUNICATION ET DE LA POSTE

AGENCE GABONAISE DE PRESSE (AGP)

- Président du Conseil d'Administration : M. NDEMBET Lin Joël.

- Directeur : M. MOUCKETOU Olivier, en remplacement de M. POUPI Maxime, appelé à d'autres fonctions.

- Directeur Adjoint : M. ELLA NZUE Jean-Baptiste, en remplacement de M. ONANGA Clément Jacquier.

INSPECTION GENERALE DES SERVICES

- Inspecteur pour communication : Mr ASSOUMOU MOMBEY Théophile.
- Inspecteurs pour Economie Numérique :
- M. OSSOUNGA Maurice,
- Mme ONANGA Eliane.


MINISTERE DES EAUX ET FORETS


AGENCE D'EXECUTION DES ACTIVITES DE LA FILIERE FORÊT – BOIS

Président du Conseil d'Administration : M. MOULOUNGUI Jean-Félix.


MINISTERE DE L'ECONOMIE, DE L'EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE


CABINET DU MINISTRE

CONSEILLERS :

- Chargé du pilier Gabon des Services : M. NDJOUBI OSSAMY Alain, Inspecteur Principal des Douanes.

- Chargé du capital humain : M. EBOZOKOU Gaston, Inspecteur Général de l'Enseignement du Second degré Technique.

- Conseiller Economique : M. PAMBOU Maurice Serges, Docteur en macroéconomie appliquée.

- Conseiller Juridique et Fiscal : M. BENGA NDJEME Arthur, Docteur en Droit Public.

- Chargée du Pilier Gabon Vert : Mme MAPANGOU Marthe, DESS Economie de l'Environnement.

- Conseiller Financier : M. LENDJOUGOU Francis Linis, DEA Economie Mathématique et Econométrie.

- Chargée du Pilier Gabon Industriel : Mme MBEZE Marie Sylvie, Administrateur Economique et Financier.

DIRECTION DU PROTOCOLE

- Directeur du Protocole : Mme BOUKANI Gilberte, Conseiller des Affaires Etrangères.

- Chargé d'Etudes : M. ALILI Marian, Inspecteur Central des Impôts.

- Agents de Sécurités :
• Mlle LOUMBANGOYE Roselyne, Maréchal de Logis Chef de Gendarmerie Nationale,
• M. AFOUNDJE Aymar, Maréchal de Logis à la Gendarmerie Nationale.

CABINET DU MINISTRE DELEGUE

- Directeur de Cabinet : M. SOUNDAT-BOUTAMBA Hugues, Administrateur Civil.

- Chef de Cabinet : M. MAVOUNGOU MBOUMBA Ange, Juriste, Master 2 Transports Maritimes.

- Secrétaire Particulière : Mme MOUBELET Béatrice, Attaché d'Administration.

- Secrétaire de Cabinet : Mme EYAVO Esther, Assistante de Direction.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme ILAMA Colette Léa.

- Agents de Sécurité :
• Maréchal de Logis Chef Major DOUMI MANDATSI Fabrice,
• Maréchal de Logis Chef ENI-ELLA Ghislain.

- Chauffeur Particulier : AGOUMA NDONG Jean-Cédric.

- CHARGES DE MISSIONS :
• M. PANZOU Antoine,
• M. TSATSI Samuel,
• Mme ITOUMBA Ruffine,
• Mme SOUZA BORA Marie France.

- CHARGES D'ETUDES :
• M. MOMBO Constant Roger, Administrateur Economique et Financier,
• M. OVONO MENGARA Côme Clotaire, Administrateur Economique et Financier,
• M. MBYE Ghislain, Master 2 Economie Développement Durable,
• Mme AMBONGUILAT Brigitte, Inspecteur Principal du Travail,
• M. MBODO MOUBAMBA Bernard, Administrateur Civil.


MINISTERE DU PETROLE, DE L'ENERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES

CABINET DU MINISTRE

- Directeur de Cabinet : M. Alexandre TCHIKAYA.

- Chef de Cabinet : M. Raphaël MABIALA.

- Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Pétula Bénicia ONGONDA.

- Secrétaire de Cabinet : Mme Hélène Brigitte NDAMOU.

- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Joseph Irma MBA NZE.

- Conseillers :

- Chargé de la Formation et de la Communication : Jocelyne Sandra AKOURE.

- Chargé du Pétrole, Représentant National de l'Association des Pays Producteurs de Pétrole Africains (APPA) : M. Fernand EPIGAT.

- Chargé des Questions Administratives : M. Jean Mathieu ANGOUE ONDO.

- Chargé de la Prospectives : M. Etienne LEPOUKOU.

- Stratégique : M. Wenceslas MAMBOUNDOU.

- Juridique : M. Jean Paul ANGOENNAH ESSYNGONE.

- Economique et Financier : M. Hugues MBADINGA MADIYA.

- Chargé des Organismes Internationaux : M. Eustache MANDJOUHOU YOLLA.

- Diplomatique : M. Norbert François OVONO OKOUE.

- Directeur du Protocole : M. Fabien Omer NDIMINA DABOU.

- Chargés d'Etudes du Ministre :
MM.
• Guy-Roger MBOUROU, Ingénieur ;
• Steeve Davy ESSONO, Administrateur Economique et Financier ;
Mmes
• Annick Edwige NGONTANG, Juriste ;
• Roseline Patricia MBOUKOU FOUBOU, Juriste ;
• Isabelle BEKALE, Journaliste.

- Chargés de Mission :
MM.
• Jean Fortune Christian SODJI NKOLO ;
• Josthène TCHIKAYA ;
Mmes
• Jeanne de Chantal NDEMBI ;
• Stella MALAMA.

Les autres personnels, précédemment en service au Cabinet sont remis à la disposition de leur administration d'origine.

CONSEIL NATIONAL DE L'EAU ET DE L'ELECTRICITE

- Président du Conseil d'Administration, Représentant du Ministère du Pétrole, de l'Energie et des Ressources Hydrauliques : M. Joseph Didier AMBOUROUE.



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23/05/2012

DISCOURS INTRODUCTIF DE MONSIEUR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, CHEF DE L'ETAT A L'OCCASION DU CONSEIL PRÉSIDENTIEL SUR L'HABITAT

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Monsieur le Premier Ministre,
Mesdames et Messieurs les Membres du Gouvernement,
Mesdames, Messieurs,


J'ai convoqué cette réunion par lettre du 11 Mai 2012 adressée au Premier Ministre, Chef du Gouvernement, face à la nécessité d'évaluer les actions déjà engagées et de donner l'impulsion requise en associant étroitement tous les acteurs du secteur.

En effet, aussi bien dans mon programme de campagne que dans mon projet de société du Gabon Emergent, j'ai affirmé une volonté ferme et claire de résorber le déficit en logement dans notre pays.

Cette attente et demande légitimes de la part de nos compatriotes d'accéder à un toit, à des coûts et conditions raisonnables justifient mon engagement de construire 5000 logements par an sur le septennat en cours, soit 35 000 logements.

Pour ma part, j'ai pris toutes les mesures politiques préalables et nécessaires, notamment d'ordre juridique et réglementaire, à travers six textes majeurs et fondateurs, qui permettent de revisiter et d'impulser notre programme d'urbanisation et nos programmes de logements.

Si la volonté politique, la vision et la stratégie sont suffisamment claires , si les réformes du cadre institutionnel et juridique sont une réalité il n'en demeure pas moins vrai que nos compatriotes, à juste titre, restent sceptiques sur la capacité du Gouvernement à traduire de façon concrète, non seulement à Libreville, mais dans les autres provinces, cette promesse et cet engagement.

C'est ce constat d'inefficacité, de pratiques peu conformes à l'intérêt général, de manque de transparence qui m'avait poussé à prendre un certain nombre de mesures dont celles touchant le ministère de l'Habitat dont la réorganisation était un impératif urgent d'une part et les instructions relatives à l'allègement et à la simplification des procédures de délivrance des titres fonciers d'autre part.

La nouvelle politique urbaine préconisée répond à des exigences d'efficacité, de transparence et de pragmatisme dans les procédures et a propose un nouveau plan d'urbanisme, le SMART CODE, qui vise dans les moindres détails les meilleurs standards internationaux.

Nous ne pouvons pas initier et mettre en œuvre cette réforme, devenue indispensable face à la pénurie de logements et à la gestion opaque qui prévalait jusqu'à présent sans une organisation administrative moderne, souple et efficace au bénéfice des populations avec la finalité de permettre aux Gabonais d'accéder à la propriété.

Pour ce faire, j'avais décidé de 5 actions d'envergure :
la réorganisation du Ministère en charge de l'Habitat, de l'Urbanisme et du Cadastre ;
la création de l'Agence Nationale de l'Urbanisme, des Travaux Topographiques, et du Cadastre ;
la création d'un Conseil National de l'Habitat ;
la réorganisation et la réactivation des Brigades Spéciales d'Urbanisme et de la Construction
la mise en place des plans d'urbanisme de détail dans les zones d'extension des villes, appelé SMART CODE



Mesdames, Messieurs,

Face à un déficit de près de 200.000 logements dans notre pays, j'attends des solutions concrètes, au-delà de l'état des lieux, indispensable certes, mais insuffisant.

Au-delà des grands principes, j'attends que de manière concrète, des mesures soient prises et des actions posées, pour résorber les différents déficits relevés dans le domaine de l'habitat.

J'attends de façon pragmatique, un calendrier d'exécution précis et défini sur des échéances imminentes.

J'attends un nouveau planning d'actions concrètes, ainsi que des réponses claires au système de financement qui tienne compte dans un équilibre intelligent de concilier le pouvoir d'achat des citoyens et la vocation sociale de nos projets aux intérêts des entreprises et promoteurs qui font des investissements dans le secteur.

Au sortir de cette réunion, je souhaite aussi lever toute équivoque et avoir des réponses aux questions suivantes :

- Comment vider la multitude de contentieux créés par nos propres travers, par un manque de vigilance ou un manque de suivi ?
-
Comment, quand et avec quels mécanismes financiers accélérer l'aménagement des différents sites et terrains en restant dans des chiffres raisonnables en adéquation avec la part que les VRD occupent dans tout pays fut – il humide et forestier ?
-
Quelles solutions concrètes pour utiliser nos matériaux locaux, en collaboration avec nos PME-PMI, en jouant au mieux sur la rentabilité des facteurs de production et éviter les tarifs à géométrie variable et dans lesquels le transport coûte plus cher que les matériaux transportés et où le même moyen de transport affiche des différences de prix exorbitantes selon le matériau concerné ?


L'accès au logement reste aux yeux de nos compatriotes un leurre et lorsqu'il devient une probabilité, son coût est excessif ! On ne peut pas faire du social avec des logements de 25 à 40 millions

Nous devons impérativement être plus intransigeants devant des pratiques frisant la surfacturation et les trafics divers et peu orthodoxes ainsi que les conflits d'intérêts.

Les choses ont changé et continueront à changer dans notre pays. Cela doit se traduire dans nos décisions, dans nos actes, dans nos réalisations.
Au-delà de se nourrir et de se vêtir, le logement comporte une dimension sociale forte et représente pour l'être humain un besoin fondamental. Chaque famille, chaque foyer a besoin d'un toit, espace de stabilité et d'épanouissement, de dignité et d'humanité.

Ce n'est ni plus, ni moins qu'un droit naturel.

C'est une question de bien-être et d'épanouissement personnel pour chacun de nos compatriotes.

J'attends donc, à la fin de cette réunion, des propositions concrètes avec un calendrier d'actions précises de sorte à résorber le retard constaté.

Un pays qui a réussi à construire stades, infrastructures sanitaires, routières et autres commodités qui lui ont valu le label de meilleure Coupe d'Afrique de l'histoire du football continental ne peut pas considérer le défi de construction de types de logements à caractère social comme un défi insurmontable.

Je suis donc à votre écoute pour nous inscrire sur la trajectoire d'un Etat qui tient ses promesses fondamentales.

J'ai ici réunis tous les Directeurs Généraux de structures essentielles dans la conception et la mise en œuvre de tous les aspects de notre politique d'habitat.

Cela présuppose qu'une fois la préparation, la coordination et la cohérence assurées, vous devez être en mesure de régler l'ensemble des problèmes qui se posent dans le secteur de l'habitat.

Aujourd'hui, avec cette séance de mise au point avec ce qui est un condensé de l'élite de notre pays, vous devez démontrer que vous incarnez les dirigeants capables de définir et d'exécuter un nouveau modèle d'architecture institutionnel et relever le défi de répondre à la forte demande de logements de nos compatriotes.


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CONSEIL PRÉSIDENTIEL : L'HABITAT, UNE SURPRIORITÉ

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Libreville -22 Mai 2012 - Un Conseil Présidentiel consacré à l'Habitat s'est tenu le 22 Mai 2012 sous la présidence du Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO OMDIMBA qui réaffirmé sa volonté ferme et claire de résorber le déficit en logement dans notre pays, conformément à sa vision et à ses engagements tant « ces attente et demande de la part de nos compatriotes d'accéder à un toit, à des coûts et conditions raisonnables sont légitimes ».

Poursuivant son propos introductif, le Président de la République a rappelé toutes les mesures politiques préalables et nécessaires qu'il a prises, notamment d'ordre juridique et réglementaire, à travers six textes majeurs et fondateurs, qui permettent de revisiter et d'impulser notre programme d'urbanisation et nos programmes de logements.

«
Si la volonté politique, la vision et la stratégie sont suffisamment claires , si les réformes du cadre institutionnel et juridique sont une réalité il n'en demeure pas moins vrai que nos compatriotes, à juste titre, restent sceptiques sur la capacité du Gouvernement à traduire de façon concrète, non seulement à Libreville, mais dans les autres provinces, cette promesse et cet engagement » précisera Ali Bongo Ondimba.

La finalité de permettre aux Gabonais d'accéder à la propriété avait conduit le Chef de l'Etat à décider de 5 actions d'envergure :
la réorganisation du Ministère en charge de l'Habitat, de l'Urbanisme et du Cadastre ;
la création de l'Agence Nationale de l'Urbanisme, des Travaux Topographiques, et du Cadastre ;
la création d'un Conseil National de l'Habitat ;
la réorganisation et la réactivation des Brigades Spéciales d'Urbanisme et de la Construction
la mise en place des plans d'urbanisme de détail dans les zones d'extension des villes, appelé SMART CODE

A la suite du Chef de l'Etat, le Ministre de la Promotion des Investissements, des Infrastructures, des Travaux Publique, des Transports, de l'Habitat, du Tourisme, Chargé de l'Aménagement du Territoire Magloire Ngambia et le Ministre Délégué Christiane Lekat à l'Habitat ont fait une présentation autour des axes suivants :

- Réforme des cadres juridique et réglementaire ;
- Réforme du cadre institutionnel ;
- Planification urbaine et aménagement des terrains urbains ;
- Développement de l'offre de logement (Programme 35 000 logements) ;
- Propositions de solutions et calendrier de mise en œuvre ;
- Arbitrages sollicités.

Des contributions complémentaires ont été faite par l'ANGT sur les projets en cours et imminents ainsi que par d'autres responsables, notamment la réorientation des activités de la SNI, la mise en place de mécanismes de financement et de refinancement, y compris l'appel public à l'épargne .

Au terme des échanges, le Chef de l'Etat a réitéré le caractère prioritaire de ce secteur et l'engagement de l'Etat à jouer tout son rôle d'accompagnement, notamment auprès des banques de sorte à faciliter et alléger l'accès au logement.

Il a invité l'ensemble des parties prenantes à se mobiliser, jouer leur partition dans la responsabilité et le respect des lois et règlements, afin que tout le pays soit en chantier par un aménagement du territoire national harmonieux et structurant.

Le Président de la République a instruit le Premier Ministre de convoquer dans la semaine en cours une réunion de finalisation avec tous les acteurs concernés pour lui soumettre un nouveau programme et un chronogramme précis pour la construction et la mise à disposition de nos compatriotes de logements décents en nombre suffisant dans des espaces de vie dignes et modernes.

Le Chef de l'Etat a inauguré le premier Conseil Présidentiel avec l'Education le 27 avril 2012. Il s'agit de nouveaux mécanismes de coordination interministérielle institués suite au Gouvernement de mission mis en place en Février 2012, pour piloter, impulser et suivre les programmes majeurs du Plan Stratégique Gabon Emergent, PSGE.


Le Gabon Émergent

Depuis l'élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd'hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l'horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé. Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Le Ministère de la Promotion des Investissements, des Infrastructures, des Travaux Publique, des Transports, de l’Habitat, du Tourisme, Chargé de l’Aménagement du Territoire :

Ce ministère rassemble l’ensemble des composantes de la chaine des travaux publics, à savoir : l’aménagement du territoire, l’occupation des sols, l’édification des réseaux de transport, de distribution et des ouvrages associés, la construction de l’habitat. Il rassemble trois ministères actuels (Equipement et Infrastructures, Transports, Habitat et Urbanisme). Par ailleurs, la mission de promotion des investissements lui est désormais rattachée du fait des enjeux majeurs dans ce domaine. Il s’appuiera sur trois grandes agences d’exécution (ANGT, ANUTTC, APEIX). Le développement de la politique touristique et l’attrait d’investissements et de réceptacles pour ce secteur pourvoyeur d’emplois lui incombe, en jouant sur les multiples atouts du Gabon, destination d’affaires et d’écotourisme. Le Ministre assure les tâches critiques de coordination et de pilotage. Il est assisté par deux Ministres délégués (Transports, Habitat).


Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org


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19/05/2012

Londres : Le Président Ali Bongo Ondimba achève sa visite officielle de trois jours au Royaume-Uni.‏

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gabon,ali bongo,can 2012,sylvia bongo,michel ogandaga,libreville,paris,bénin,burkina faso,sénégal,cameroun

Londres le 19 mai 2012 - Le Président de la République gabonaise Ali Bongo Ondimba a achevé une visite officielle de trois jours au Royaume-Uni où il a notamment rencontré son homologue britannique le Premier Ministre David Cameron.

Le chef de l'Etat a également profité de sa venue à Londres pour présenter sa politique du Gabon Emergent à des investisseurs et diffuser sa vision du développement pour l'Afrique.

Lors de sa troisième visite du genre au Royaume-Uni depuis son investiture en 2009, le chef de l'Etat s'est entretenu le jeudi 17 mai avec le Premier Ministre David Cameron au 10 Downing Street.

Les deux hommes se sont engagés à renforcer les liens bilatéraux entre les deux pays et ont exprimé leur volonté commune de voir les échanges commerciaux s'intensifier entre le Gabon et le Royaume-Uni.

Auprès de M. Cameron, le Président de la République gabonaise a plaidé pour que les entreprises britanniques viennent s'installer et investir plus durablement au Gabon afin de contribuer au développement de l'économie du pays.

Les deux chefs d'Etat qui se sont dits inquiets de l'instabilité politique qui prévaut dans certains pays du Sahel ont aussi longtemps évoqué les dossiers sécuritaires.

Le Président Ali Bongo Ondimba a salué la précieuse contribution du Royaume-Uni dans la lutte contre la piraterie au large de la Somalie.

Son homologue britannique a quant à lui souligné le rôle essentiel qu'a joué le Gabon dans la promotion de la paix quand le pays était membre du Conseil de Sécurité des Nations-Unies entre 2010 et 2011.

Gabonais et Britanniques envisagent également d'organiser sous l'autorité de l'ONU une conférence internationale sur la piraterie dans le Golfe de Guinée.

Le Président Ali Bongo Ondimba a en outre tenu à mettre à profit sa visite dans la capitale britannique pour exposer le potentiel économique du Gabon à des investisseurs britanniques et dévoiler sa stratégie de développement du Gabon Émergent.

A la Chatham House, le plus prestigieux et le plus influent centre de réflexion britannique sur les relations internationales, le chef de l'Etat gabonais a prononcé le 17 mai un discours intitulé « Investir pour le futur » devant un parterre de chercheurs et d'hommes d'affaire.

Durant ce dernier, le chef de l'Etat a invité les décideurs de ce monde à poursuivre de nouveaux modèles de développement à la fois plus durables et plus soucieux de l'environnement pour faire face aux défis économiques, sociaux et démographiques actuels.

Le Président a particulièrement insisté sur le fait que la croissante verte qu'il appelle de ses vœux est d'autant plus nécessaire qu'elle permet de répondre de manière pérenne aux problèmes liés aux changements climatiques.

«
Les leaders africains notamment doivent aujourd'hui prendre toute la mesure de ces enjeux et passer à l'action en matière environnementale » a indiqué le Président de la République.

En guise de conclusion, le Président Ali Bongo Ondimba a tenu à souligner que «
plus que jamais en Afrique, nous avons l'opportunité de changer la destinée de notre continent. »

C'est d'ailleurs sur la thématique de la prise en main du développement de l'Afrique par les Africains que le Président gabonais a clos sa visite lors de son discours d'ouverture de la conférence sur la journée de l'Afrique organisée par la prestigieuse London Business School le samedi 19 mai.

Le Président gabonais y a souligné les formidables opportunités offertes par le continent africain qui affiche l'un des plus forts taux de croissance économique au monde avec 5,5% en 2011.

Le chef de l'Etat a indiqué que les opportunités économiques et d'investissements que représente l'Afrique du 21ème siècle n'ont jamais été aussi grandes : « L'Afrique doit aujourd'hui dépasser la seule recherche de la croissance économique sur le très court terme.

Nous devons profiter du contexte économique favorable pour générer des décennies de croissance tout en préservant notre capital environnemental et social. Il a également invité les Africains à devenir les véritables acteurs du développement de leur continent.

«
La nécessité pour l'Afrique de s'approprier son développement et de prendre en main son destin n'a jamais été aussi forte. Il est de notre responsabilité de faire en sorte que les politiques que nous appliquons et les décisions que nous prenons aujourd'hui débouchent sur un développement pérenne pour l'Afrique.»

Tout au long de sa visite en Grande-Bretagne le chef de l'Etat gabonais n'a eu de cesse de promouvoir le Gabon et de souligner sa stratégie de développement incarnée dans le Gabon Emergent – l'ambitieux programme de réformes qui vise à diversifier l'économie et accroître la compétitivité des secteurs industriels et des services tout en préservant les immenses richesses environnementales du pays.

Il a exprimé avec force que le Gabon est aujourd'hui déterminé à réduire sa dépendance vis-à-vis des matières premières et à diversifier son économie afin de devenir une économie émergente d'ici 2020.

Ardent défenseur de l'environnement le Président a néanmoins prévenu devant le public de la Chatham House que «
le programme de développement engagé au Gabon ne saurait se faire au détriment de l'environnement dans notre pays qui est recouvert par 22 milliards d'hectares de forêts, d'un million d'hectares de terres arables et disposant de 800 kilomètres de réserves côtières. »

Cette visite du Président de la République gabonaise dans un pays, le Royaume-Uni, avec lequel le Gabon a toujours entretenu des relations cordiales et chaleureuses présage d'une collaboration toujours plus étroite entre les deux nations.


FIN


La politique du Gabon Emergent


Depuis l'élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd'hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l'horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d'hectares de forêt, 1 million d'hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l'industrie du bois, l'agriculture et l'écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l'économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l'objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l'information, les métiers de l'économie verte, de l'enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d'ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d'investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

Pour plus d'information, merci de visiter http://www.presidentalibongo.com/, www.gabon-nature.com ou contacter www.cocom.rggov.org

 

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